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Jeudi dernier à Trouville-sur-Mer (Calvados), des journalistes de France 2 ont décidé de faire une reconstitution d’un vol à main armée commis le 25 août 2011 au préjudice d’une personne âgée de 75 ans.
Ils ont acheté une arme factice dans une armurerie locale pour faire bien réel. Et cela a marché. Un couple de bijoutiers qui quittait le casino local est tombé nez à nez avec les journalistes “braqueurs”.
Croyant à un braquage, ils ont alerté la police qui a mis en oeuvre les grands moyens. Le véhicule des journalistes qui tournaient pour l’émission Complément d’enquête a été intercepté par quatre patrouilles de police à un rond-point.
Les occupants ont été extraits manumilitari de la voiture puis ils ont été plaqués au sol et menottés. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat.
Descente policière
Pour récupérer un livre emprunté à la bibliothèque, les États-Unis peuvent parfois employer les grands moyens. Dans la ville de Charlton, une fillette de 5 ans a ainsi vu débarquer la police à son domicile pour lui réclamer deux livres dont la date de rendu était dépassée.
Une initiative plutôt disproportionnée au regard de l’”infraction”. La petite fille, impressionnée par cet homme en uniforme qui lui demandait des comptes, a d’ailleurs éclaté en sanglots, croyant finir en prison. Ses craintes sont pourtant fondées puisqu’un individu a été condamné à 10 jours de prison pour avoir été incapable de rendre les livres empruntés quelque temps auparavant.
Pour se justifier, l’officier a expliqué que la bibliothèque avait contacté le commissariat et que l’État du Massachussetts autorise cette dernière à solliciter la police pour des livres non rendus après plusieurs mises en demeure de restitution, explique le Huffington Post. Sauf que les lettres de relance ne sont jamais parvenues à destination selon la famille de la fillette.
Mais pourquoi un tel zèle de la part de la bibliothèque. Tout simplement parce que les ouvrages empruntés sont des livres-audio d’une valeur de 100 dollars empruntés depuis avril d’après The Worcester Telegram & Gazette. Selon la même source, une dizaine d‘autres familles n’ont toujours pas rendu ces livres onéreux.