Alors qu’au moment où elle a tué ses enfants, les experts psychiatres, l’estiment incapable de contrôler ses actes en raison de son état de déséquilibre mental. Ils sont arrivés à cette conclusion après un nouvel examen de l’accusée à la lumière des deux lettres qu’elle avait envoyées à son psychiatre.
Pour mettre la lumière sur cette affaire qui défraie la chronique, Libération publie demain un dossier sur cet infanticide dans lequel est impliqué, une famille marocaine.