-
Les communes de Lagouira et Dakar s’engagent à renforcer leur coopération décentralisée
-
Le soutien exceptionnel au secteur de la presse et de l'édition prendra fin mars prochain
-
Appel pour une approche scientifique et juridique bien réfléchie dans l'élaboration du nouveau Code de la famille
-
14ème Conférence des ministres arabes de l’Education à Doha : Adoption d'un document de référence pour renforcer l’enseignement inclusif
-
La Grande Mosquée de Paris antre de la propagande algérienne
Bien que vivement contestées par les professionnels du secteur, les récentes conclusions du Centre international de recherches sur les cancers (IARC), une agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), indiquent que le portable serait « potentiellement » cancérogène.
D’après les experts internationaux de cette agence, qui se sont penchés du 24 au 31 mai dernier, à Lyon, sur les risques liés à l’exposition aux champs électromagnétiques et aux radiofréquences, les ondes émises par le téléphone mobile pouvaient être classées dans la catégorie 2B. Celles des agents potentiellement cancérigènes pour l’homme, à l’instar du radar, micro-ondes, antennes de télécommunications, wi-fi, etc.
Après dix ans de tergiversions sur un sujet aussi important pour la santé de l’homme, tout porte à croire que les études épidémiologiques citées par l’OMS ont tranché sur la question.
Les preuves sont si fortes que l’usage du mobile pourrait être cancérigène pour l’homme : il favoriserait le développement de gliome, un type de cancer du cerveau. En attendant des études complémentaires, les experts de l’OMS recommandent des pratiques de nature à réduire, un tant soi peu, l’exposition directe aux ondes du téléphone. Comme le recours aux kits mains libres et à la communication par SMS.