Le sport national est en deuil après avoir perdu l’une de ses figures de proue, Abdellah Blinda. Le regretté a rendu l’âme mercredi matin dans une clinique de Rabat, à l’âge de 59 ans des suites d’un malaise.
Un grand sportif vient de nous quitter donc, avec le sentiment du devoir accompli. Abdellah Blinda fut un athlète accompli, à l’aise dans différentes disciplines. Excellent joueur de handball et de football, il avait fait les beaux jours respectivement du sept de l’Olympique Marocain et du Onze du FUS de Rabat. Avec le Fath, il était derrière la consécration du club de la capitale en Coupe du Trône en 1977, en scorant en deux temps contre l’Ittihad de Khémisset dans une finale disputée au stade Al Inbiât à Agadir.
Même après sa retraite en tant que joueur, le défunt ne s’est pas éloigné des pelouses, embrassant la carrière d’entraîneur, prenant les commandes techniques de nombreux clubs nationaux, dont le FUS et le Raja de Casablanca. Et il était donc des plus logiques pour que ce grand monsieur de football prenne les destinées des équipes nationales avec une participation au Mondial américain en 1994. Une édition où le Onze national a produit du beau football, mais a joué terriblement de malchance.
En ces douloureuses circonstances, « Libé-Sport » présente ses condoléances les plus attristées à la famille et aux amis du regretté.
Que Dieu ait l’âme du défunt en Sa Sainte Miséricorde.
Un grand sportif vient de nous quitter donc, avec le sentiment du devoir accompli. Abdellah Blinda fut un athlète accompli, à l’aise dans différentes disciplines. Excellent joueur de handball et de football, il avait fait les beaux jours respectivement du sept de l’Olympique Marocain et du Onze du FUS de Rabat. Avec le Fath, il était derrière la consécration du club de la capitale en Coupe du Trône en 1977, en scorant en deux temps contre l’Ittihad de Khémisset dans une finale disputée au stade Al Inbiât à Agadir.
Même après sa retraite en tant que joueur, le défunt ne s’est pas éloigné des pelouses, embrassant la carrière d’entraîneur, prenant les commandes techniques de nombreux clubs nationaux, dont le FUS et le Raja de Casablanca. Et il était donc des plus logiques pour que ce grand monsieur de football prenne les destinées des équipes nationales avec une participation au Mondial américain en 1994. Une édition où le Onze national a produit du beau football, mais a joué terriblement de malchance.
En ces douloureuses circonstances, « Libé-Sport » présente ses condoléances les plus attristées à la famille et aux amis du regretté.
Que Dieu ait l’âme du défunt en Sa Sainte Miséricorde.
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