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Les transports publics et services de ferry ont été suspendus, alors que les écoles, les tribunaux et les hôpitaux publics étaient fermés. Aucun journal n'était disponible.
"Nous poursuivons ce mouvement parce que nous sommes dans notre bon droit", a commenté Yiannis Panagopoulos, chef de la centrale syndicale GSEE à l'origine de la contestation.
Plus de 2.000 personnes ont participé à une manifestation dans le centre d'Athènes, scandant des slogans contre les mesures d'austérité et les réformes. Le rassemblement s'est déroulé dans une ambiance pacifique, alors que les précédents mouvements avaient donné lieu à des violences. Le 5 mai, trois employés de banque avaient péri dans leur établissement incendié par des émeutiers anarchistes présumés.
Plusieurs milliers de personnes se sont également rassemblées au cours d'une autre manifestation, à l'appel d'un syndicat affilié au Parti communiste. Deux autres rassemblements étaient également prévus à Thessalonique, dans le nord du pays.
Les syndicats s'opposent à une réforme du système de retraite et du droit du travail, dans le cadre du plan d'austérité visant à assainir les finances publiques.