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Ce dernier bain de sang, bien que beaucoup plus impitoyable, n’est pas le premier perpétré par Israël. Il couronne des mois de siège de Gaza, lequel devrait être largement condamné et sanctionné comme un acte de génocide contre les 1,5 million de Palestiniens vivant dans la plus grande prison à ciel ouvert du monde. Le professeur Richard Falk, rapporteur spécial du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies pour les Territoires palestiniens occupés, a décrit en ces termes, le siège israélien de Gaza l’année dernière, alors qu’il n’était pas encore comparable en gravité à la situation actuelle : « Est-ce une exagération irresponsable que d’associer le traitement des Palestiniens aux pratiques d’atrocités collectives des nazis? Je ne le crois pas. Les récents développements à Gaza sont particulièrement inquiétants parce qu’ils expriment de façon frappante une intention délibérée de la part d’Israël et de ses alliés de soumettre une communauté humaine toute entière à des conditions de la plus grande cruauté qui mettent en danger sa vie. La suggestion que ce schéma de conduite est un holocauste en train de se faire…. ». Plus que d’un simple carnage, aussi sanglant fût-il, ou de génocide, c’est, donc, d’holocauste qu’il s’agit.