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Etre trop stupide pour Steven Seagal, c’est un coup dur. Eva Mendes a encore du mal, treize ans après, à se remettre d’avoir été rabaissée au contact de l’acteur déjà si mal vu à Hollywood. A Jon Stewart, le sémillant présentateur du Daily Show, Eva Mendes raconte tous ses regrets d’avoir été si mal traitée à ses débuts.
En 2000, Eva Mendes intègre le casting d’Hors Limites avec Steven Seagal, mais aussi le rappeur DMX. Drogues, violence, police et justice des hommes, tous les ingrédients d’un mauvais thriller cher à la carrière de l’ex-bodyguard, sont réunis. Eva Mendes qui pensait, au mieux, passer inaperçue dans ce film, s’est entendu dire que sa voix n’était «pas assez intelligente».
Allô, quoi? Je suis Eva Mendes et je ne suis pas assez intelligente pour Steven Seagal. Voilà, à peu de choses près, le message de désespoir formulé par l’actrice sur le plateau du Daily Show. Elle a raconté comment la production d’Hors limites a finalement décidé de doubler sa voix pour ce film.
Depuis cet outrage, Eva Mendes s’est bien rattrapée. En 2011, la maison Thierry Mugler dont elle est l’égérie lui demande de pousser la chansonnette sur le titre sublime de Michel Legrand, les Moulins de mon cœur. La version anglaise, The windmills of your mind susurrée par Eva Mendes est désormais l’hymne de la publicité Mugler. Côté carrière, la brunette a également réussi à tirer son épingle du mauvais jeu de Steven Seagal. Elle jongle depuis entre le cinéma d’auteur de Leos Carax et la tête d’affiche de The places beyond the pines aux côtés de Ryan Gosling.