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Le jeune Béninois Akinocho Younès de mère marocaine, natif de France et déniché par un membre fédéral a opté pour la sélection du Maroc. Il possède des qualités techniques et physiques respectables qui font de lui une pièce maîtresse dans le poste d’intérieur, ce qui lui a valu sa titularisation en équipe nationale du Maroc de basketball.
Libé : Présentez-vous au public du basketball ?
Akinocho Younès : Je m’appelle Younès Akinocho, j’ai 22 ans, j’ai tout d’abord commencé par le football, ensuite les arts martiaux avant de me trouver dans le basket, un sport avec lequel je me suis très rapidement adapté et sans aucun problème compte tenu de ma taille qui dépasse les deux mètres. C’est grâce aussi à des entraîneurs et des conseillers qui m’ont orienté vers cette discipline. J’ai débuté la pratique à l’âge de 14 ans.
Qui vous a initié à la pratique du basketball ?
Plusieurs personnes étaient à l’origine de mon encadrement. Tout d’abord, les encadreurs du collège, du lycée, du club de Cholet et de l’Institut de formation Sport et Etude.
Ensuite, j’ai participé au championnat de France junior, espoir et en pro A comme senior deux années successives.
La saison d’après, 2005-2008 j’ai regagné les Etats-Unis pour sport et étude. Là, j’ai joué avec l’université de Californie.
Après l’aventure américaine, quelle a été votre nouvelle destination?
Ma nouvelle destination, c’était la France puis, l’Allemagne et le Danemark à Copenhague en première division.
Comment s’est fait votre premier contact avec la FRMBB ?
Le premier contact s’est effectué grâce à Hatim qui m’a demandé si je pouvais venir au Maroc pour jouer en équipe nationale. Et puisque, je suis Marocain, la proposition m’a intéressée pour défendre les couleurs de mon pays. Pour le reste, c’est la Fédération royale marocaine de basketball qui s’en est occupée.
Car porter le maillot de mon pays est une fierté et un honneur pour moi personnellement, pour ma famille et le public.
N’avez-vous pas trouvé de difficulté auprès de votre famille et notamment votre père qui est Béninois ?
En toute franchisse, je n’ai eu aucune opposition de personne. Je suis majeur et les décisions ne regardent que moi, mais en réalité toute ma famille était pour le drapeau du Maroc. Quant à l’équipe nationale du Bénin de basketball, elle est inexistante pour le moment, et même si elle existe mon choix portera sur le Maroc.
Comment voyez-vous le groupe avec lequel vous travaillez et comment êtes vous reçu au Centre national de basketball ?
Sincèrement, les responsables, les joueurs et tout le staff technique m’ont réservé un accueil chaleureux.
Je me sens très bien dans mon pays, je me suis très vite adapté au système du coach chevronné Francis Jordane qui va donner beaucoup au basket national.
Etes-vous satisfait de la prestation de l’EN, lors des éliminatoires afro-basket 2009 à Salé ?
L’équipe du Maroc de basket compte dans ses rangs des éléments de valeur sur tous les plans. Pour s’imposer à l’échelon continental, régional et arabe, il faut multiplier les rencontres internationales pour aguerrir le jeu collectif, les automatismes et surtout, c’est l’expérience qui donne aux joueurs de basketball la base de la réussite.
Qu’en est-il de votre signature avec le club de l’Ithri Riadi d’Al Hoceima ?
Dans ce sens, j’ai eu beaucoup de contacts avec des clubs marocains et parmi eux le club d’Iran d’Al Hoceima. Cependant, il n’y a pas de concret pour l’instant. Ce qui m’intéresse beaucoup, c’est l’équipe nationale avec laquelle je me concentre maintenant avant de trouver d’autres destinations.
Libé : Présentez-vous au public du basketball ?
Akinocho Younès : Je m’appelle Younès Akinocho, j’ai 22 ans, j’ai tout d’abord commencé par le football, ensuite les arts martiaux avant de me trouver dans le basket, un sport avec lequel je me suis très rapidement adapté et sans aucun problème compte tenu de ma taille qui dépasse les deux mètres. C’est grâce aussi à des entraîneurs et des conseillers qui m’ont orienté vers cette discipline. J’ai débuté la pratique à l’âge de 14 ans.
Qui vous a initié à la pratique du basketball ?
Plusieurs personnes étaient à l’origine de mon encadrement. Tout d’abord, les encadreurs du collège, du lycée, du club de Cholet et de l’Institut de formation Sport et Etude.
Ensuite, j’ai participé au championnat de France junior, espoir et en pro A comme senior deux années successives.
La saison d’après, 2005-2008 j’ai regagné les Etats-Unis pour sport et étude. Là, j’ai joué avec l’université de Californie.
Après l’aventure américaine, quelle a été votre nouvelle destination?
Ma nouvelle destination, c’était la France puis, l’Allemagne et le Danemark à Copenhague en première division.
Comment s’est fait votre premier contact avec la FRMBB ?
Le premier contact s’est effectué grâce à Hatim qui m’a demandé si je pouvais venir au Maroc pour jouer en équipe nationale. Et puisque, je suis Marocain, la proposition m’a intéressée pour défendre les couleurs de mon pays. Pour le reste, c’est la Fédération royale marocaine de basketball qui s’en est occupée.
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N’avez-vous pas trouvé de difficulté auprès de votre famille et notamment votre père qui est Béninois ?
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Qu’en est-il de votre signature avec le club de l’Ithri Riadi d’Al Hoceima ?
Dans ce sens, j’ai eu beaucoup de contacts avec des clubs marocains et parmi eux le club d’Iran d’Al Hoceima. Cependant, il n’y a pas de concret pour l’instant. Ce qui m’intéresse beaucoup, c’est l’équipe nationale avec laquelle je me concentre maintenant avant de trouver d’autres destinations.