-
L'Office des changes publie une circulaire relative aux mesures d'assouplissement et de simplification du régime de voyages pour études à l'étranger
-
Les enjeux du développement durable en débat à Fès
-
OQTF pour se débarrasser de ses migrants : Un truc qui ne marche pas à tous les coups
-
L’Algérie, en grande pestiférée du Sahel
-
Un rapport britannique sur la sécurité alimentaire braque les projecteurs sur les relations agricoles avec le Maroc
"L'emprunt obligataire lancé par le Maroc vient ainsi pour réduire les pressions sur les liquidités intérieures et continuer donc à satisfaire les besoins d'investissement et de croissance, un choix fait par le gouvernement, et à maintenir une dynamique positive de l'économie nationale, dans un contexte économique mondial instable, a-t-il souligné. "Lancée avec succès" par le Maroc avec un taux de 4,5% sur 10 ans, cette opération "traduit la reconnaissance internationale des efforts de réforme et de développement consentis par le Maroc", a-t-il ajouté. D'autre part, le gouvernement a préféré cette émission obligataire à une privatisation pour faire face au déficit budgétaire.'' Nous n'allons pas privatiser parce que nous sommes dans un contexte international marqué par la crise financière et nous voulons préserver les équilibres intérieurs", a affirmé Salaheddine Mezouar lors d'un point de presse. A rappeler que la dernière émission lancée par le Maroc sur le marché financier international date de juin 2007 et avait porté sur un montant de 500 millions d'euros avec un taux d'intérêt de 5,375%, soit 87,5 points de base de plus que l'émission actuelle.