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Des résultats qui ont été confirmés par le rapport d'observation publié par l'Organisation marocaine des droits de l'Homme (OMDH), qui s'est arrêté, entre autres, sur la fuite du bulletin de vote unique. Cependant, et en dépit de la gravité de ces violations, aucune suite n'en a été donnée par le ministère de l'Intérieur.
Aujourd'hui, et forts de la rapide et étonnante réaction de ce même ministère concernant le cas de la commune El Ménara à Marrakech qui a conduit à l'annulation des élections de la mairie de la ville ocre, les représentants de ces partis politiques espèrent l'ouverture d'une enquête (il n'est jamais trop tard de bien faire), en vue de lever le voile sur les points d'ombre ayant marqué ces élections et de s'arrêter sur les violations ayant aliéné leurs résultats.
Outre la fuite du bulletin unique, ces derniers citent un certain nombre de violations relatives à l'octroi des cartes de vote (des personnes radiées alors qu'elles n'ont pas changé de lieu de résidence, le non-octroi de cartes, etc), l'ouverture de certains bureaux de vote après sept heures, la fermeture d'autres pendant le déjeuner et l'utilisation d'une urne sans cadenas.
Plus que ça, les représentants de ces partis parlent de cas où les représentants de certaines listes ont été empêchés d'assister au dépouillement bien qu'ils aient rempli toutes les conditions requises et de cas où des bulletins de vote n'ont pas été détruits et des enveloppes non fermées.