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Selon leurs représentants, les travailleurs de ces sociétés se trouvent sous la menace de perdre leurs emplois avec la rentrée de la société Véolia au début du mois prochain, date à laquelle cette dernière monopolisera le marché des transports de bus dans la capitale du Royaume. De plus, les « travailleurs veulent manifester leur colère et revendiquer leur droit à un travail décent et stable », affirme un syndicaliste.
Rappelons que les citoyens ont beaucoup souffert de cette grève, d’autant que les grévistes n’ont pas lancé de préavis pour ce débrayage.
Il convient de rappeler que c’est le consortium composé de Véolia Transport et des groupes Bouzid et Hakam qui va gérer, à partir du 1er novembre prochain, le réseau du transport urbain dans les villes de Rabat, Salé et Témara.
Ce groupement a signé récemment deux conventions de partenariat avec le ministère de l'Emploi et de la Formation professionnelle et l'Agence nationale pour la promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC).
Ce partenariat a fait ressortir un besoin de 2.800 profils, dont 1.250 conducteurs, 1.250 receveurs, 200 contrôleurs et plus de 100 agents de maintenance technique et mécanique.
C’est l’ANAPEC qui se charge de la présélection des candidats répondant aux profils demandés. L’Agence a procédé, à ce jour, à la présélection de 900 compétences au niveau de la région de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër.