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En effet, l’étude qui sera présentée samedi dans un colloque organisé à Dublin par la Société européenne de cardiologie, a montré que le risque de décès avait diminué de 44% pour les joggeurs réguliers sur l’ensemble de la période étudiée. Mais comme le soulignent les chercheurs, l’important est bien évidemment de maintenir une régularité. Selon le Pr Schnohr, pour allonger son espérance de vie, il faut courir à un rythme modéré entre une heure et deux heures et demie par semaine réparties sur deux à trois séances. Ni plus, ni moins pour que l’effet soit optimal.
“L’idéal est de se sentir à bout de souffle sans être totalement essoufflé”, précise le médecin qui rappelle que des études ont démontré que les non-sportifs et les grands coureurs enregistrent généralement une espérance de vie plus faible que les joggeurs réguliers. Mais les bienfaits de courir n’ont pas toujours été aussi évidents notamment dans les années 1970 où planait un scepticisme ambiant, rappelle le Pr Schnohr.
“Suite aux décès de quelques joggeurs, les journaux avaient suggéré que le jogging était une pratique dangereuse pour les coureurs du dimanche”, se souvient le spécialiste. C’est la raison pour laquelle les chercheurs danois ont souhaité entamer ces travaux et apporter des preuves des effets bénéfiques du jogging. Une pratique qui améliore l’absorption d’oxygène, augmente la sensibilité à l’insuline, abaisse la tension artérielle, améliore la fonction cardiaque et aussi le système immunitaire.