-
Casablanca rejoint le réseau mondial C40 des villes engagées dans des actions climatiques
-
Débat à Salé sur l'importance de la loi sur les peines alternatives dans le système pénal national
-
Clôture à Fès des travaux de la 6ème session ordinaire du Conseil supérieur de la Fondation Mohammed VI des oulémas africains
-
Une conférence à Marrakech explore le rôle des instances de gouvernance dans la protection des droits et libertés
-
Célébration à Tanger du centenaire de l’adoption de la législation régissant la profession d’avocat au Maroc
Le constat a été fait par un huissier judiciaire qui a enregistré les noms et prénoms des conseillers qui ont répondu présent aux convocations des autorités.
Ces dernières qui ont pris la décision de reporter à une date ultérieure la constitution du bureau du conseil municipal d’Agadir n’ont pas daigné aviser les conseillers ni donné de raisons valables de ce report, le moins que l’on puisse dire, imprévisible.
Les conseillers de l’USFP et du PJD ont dénoncé cet acte illégal et fait endosser la responsabilité, comme cela a été indiqué par Larbi Talmoudi, aux autorités locales qui ont failli à leur engagement de tenir cette réunion à la date mentionnée bel et bien dans les convocations des conseillers.
Les conseillers qui ont pris à témoins nombre de citoyens et des représentants des médias nationaux venus nombreux assister à la constitution du bureau du conseil municipal d’Agadir, ont déclaré qu’ils restent attachés à leurs droits.
De leur côté, Tarek Kabbaj et Ismail Choukri, respectivement tête de liste de l’USFP et du PJD ont exprimé leur surprise face à l’absence injustifiée des autorités locales qui n’ont pas jugé utile de saisir par correspondance les conseillers, les premiers concernés.
Ces complots ne feront que rendre plus fortes et plus solidaires les deux formations dont la coalition s’est établie sans conditions préalables, mais en raison d’une volonté commune et de visions similaires tant au niveau de leur programme que de leur objectif, et ce pour l’intérêt du citoyen, ont poursuivi les deux têtes de liste de l’USFP et du PJD. Avant de conclure que leur alliance est indéfectible et qu’elle ne pourrait jamais avoir lieu avec les symboles de la prévarication.