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A l’ouverture des travaux du congrès, Mohamed Abassi élu à l’unanimité secrétaire général du syndicat, a qualifié cette journée d’historique et d’espoir. Il a indiqué également que cet organe qui se veut cadre unitaire, démocratique et moderne pour toutes ses composantes et potentialités, sera une force de proposition et de négociation à propos des mutations et des développements que connaît le secteur audiovisuel.
Améliorer la pratique démocratique dans sa dimension syndicale et culturelle, réglementer la liberté de l’audiovisuel, garantir l’indépendance de l’exercice professionnel, respecter la déontologie de la profession et les droits des employés du secteur que ce soit dans le privé ou le public, telles sont les missions que le syndicat se doit de faire réussir.
Il est temps plus que jamais de resserrer les rangs pour préserver les droits et défendre les revendications, matérielles et morales, des professionnels du secteur, a conclu Mohamed Abassi.
Par ailleurs et au nom du Bureau central, Abdelhamid Fathi, adjoint du secrétaire général de la FDT, a souligné que la création de ce syndicat s’est basée sur des fondements essentiels : démocratie interne, indépendance, transparence dans la gestion financière et détermination de la conception de l’affiliation syndicale. La FDT a adopté cet ensemble de fondements en vue de moderniser l’action syndicale, diffuser une nouvelle approche de la revendication syndicale et consolider une nouvelle vision des négociations dans les relations avec les autres parties, a fait savoir Abdelhamid Fathi.
Vu la situation du secteur de l’audiovisuel et les développements survenus dans le pays, la création de cet organe devient une nécessité pressante en tant qu’outil pour réunir les conditions adéquates de travail et de créativité, l’objectif étant d’améliorer la situation matérielle et morale, démocratiser les relations professionnelles et rester loin des directives.
A l’issue des travaux du congrès, et sous la présidence de Larbi Habchi, membre du bureau central, il a été procédé à l’élection d’une commission administrative du syndicat qui, à son tour, a élu un bureau national de 25 membres.