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Selon l’étude américaine, la molécule GRN-529 - isolée par le groupe pharmaceutique Pfizer - ciblerait le glutamate, un médiateur qui circule dans le cerveau pour activer certains neurones. La nouvelle molécule parviendrait donc à fixer un récepteur au glutamate freinant ainsi l’action des neurones, généralement suractivés chez les personnes autistes. Bien que le traitement des symptômes ne soit pas aisé de par leur nombre et leur complexité, les résultats confortent ainsi dans l’objectif de trouver un traitement unique.
“Les résultats de ces expérimentations sur des souris laissent penser qu’il est possible d’envisager une stratégie consistant au développement d’un seul traitement pour traiter de multiples symptômes”, explique pour l’AFP Jacqueline Crawley de l’Institut national américain de la santé mentale (NIMH). Après des essais plutôt concluants sur des patients présentant des symptômes similaires à l’autisme, d’autres tests sont en cours notamment contre le syndrome du chromosome X fragile causant également un retard mental héréditaire très proche de l’autisme.