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Le conseil poursuivra ses travaux par l’examen de 4 projets de décrets ainsi qu’un projet de loi transformant l’Office de commercialisation et d’exportation (OCE) en Société de participation.
A rappeler que le gouvernement traîne ce boulet depuis 1984, après le licenciement sec, suite au « démantèlement » de l’OCE, de quelque 500 employés avec tout ce que cela avait induit comme crises personnelles et drames familiaux. Et ce malgré la création d’un Etablissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE).
Dans les faits, l’OCE a cessé d’exister depuis belle lurette et le flou a persisté durant toutes ces années. Il aura fallu donc un quart de siècle pour que l’on se souvienne au 21ème siècle de ce boulet. On devrait donc s’estimer heureux que l’on évoque ce dossier.
L’OCE qui relève du ministère du Commerce extérieur aux côtés du Centre marocain pour la promotion des exportations et de l’Office des foires et des expositions de Casablanca connaît depuis l’installation de Najb Mikou au poste de DG un certain dynamisme en vue de le restructurer, d’assurer un commerce équitable et de valoriser les produits des petits agriculteurs.
Créé par Dahir en juillet 1965, l’OCE avait le monopole de l’exploitation des agrumes, primeurs, et conserves végétales. Il orientait la production en fonction des exportations, intervenait à tous les stades de la production, de la conservation, de la transformation et du transport. Il avait des liens étroits avec les organismes financiers internationaux tels que la BIRD, pour le financement de projets de développement, ainsi qu’avec des organismes publics à l’échelle mondiale comme le GATT, la CNUCED ou l’AID.