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L’atelier présente le nouvel outil FAO EX-ACT (EX-Ante Carbon balance Tool) qui permet d’analyser l’impact des projets d’investissement du secteur agro-sylvo-pastoral en matière d’augmentation ou de baisse des gaz à effet de serre (GES).
L’atelier a comme objectifs d’identifier des pratiques responsables des principales sources et puits de GES, renforcer la capacité de formuler des projets et politiques agricoles en considérant activement des objectifs d’atténuation (vis-à-vis d’autre objectifs) et fournir une méthodologie adéquate pour estimer le bilan carbone et l’intégrer comme facteur de décision dans les documents de projet.
L’atelier réunit des experts et des cadres spécialisés dans le domaine du changement climatique de plusieurs pays dont : Ghana, Tunisie, Niger, Burkina Faso, Algérie, Mauritanie, Togo, Tchad, France, Sénégal, Mali, Benin ainsi que le Maroc et la FAO. Selon Michael George Hage, représentant de la FAO au Maroc, «durant la COP21, le Maroc a été nommé président de la COP 22 qui se tiendra en novembre 2016 à Marrakech. Dans ce cadre, la FAO est engagée avec la mobilisation d’experts, l’organisation d’évènements et la mise en œuvre de nouveaux projets sur le changement climatique et l’agriculture intelligente face au climat».
M. Hage souligne aussi que «le changement climatique est un défi majeur pour le développement du secteur agricole et la conservation des ressources naturelles en Afrique. Les systèmes météorologiques du continent, toujours plus imprévisibles et capricieux, sont une menace supplémentaire pour la sécurité alimentaire et les moyens d'existence ruraux».