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La semaine dernière, le groupe a dévoilé ce qu'il présente comme des images de reconnaissance aérienne et d'autres éléments impliquant selon lui Israël. Cheikh Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, a reconnu que ces éléments n'étaient pas une preuve absolue mais qu'ils «ouvraient de nouveaux horizons» pour l'enquête. Mardi, le Hezbollah a remis ces éléments au procureur général du Liban, qui les a transmis à son tour au tribunal des Pays-Bas en charge du dossier.
La Syrie a démenti toute implication dans l'assassinat. Si le Hezbollah est inculpé, certains craignent des émeutes entre les partisans sunnites de Rafic Hariri et les chiites soutenant le Hezbollah.