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Les chercheurs ont par ailleurs montré l'existence d'une distinction entre hommes et femmes. Dans le groupe étudié, les sujets féminins ont montré des caractéristiques d'Alzheimer : un changement dans la signature de leur activité cérébrale et des niveaux élevés de protéines "tau" dans le LCR (liquide céphalo-rachidien), ce qui affecte la communication entre les neurones. En revanche, les sujets masculins dont les tests génétiques révèlent une seule copie du gène ApoE4 ont montré moins de risque de souffrir d'Alzheimer.
Ceci tend à expliquer pourquoi davantage de femmes que d'hommes (3 contre 2) contractent la maladie, indique le Dr Michael Greicius, professeur adjoint de neurologie et directeur médical du Centre Stanford cité par l'AFP. Identifier les interactions entre ApoE4 et le sexe ouvre donc la voie à de nouvelles approches expérimentales qui vont permettre de mieux comprendre comment la variante génétique ApoE4 accroît le risque de souffrir d'Alzheimer.