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Le président du Groupe socialiste à la Chambre des représentants a habilement fait avorter cette tentative en expliquant qu’il fallait respecter l’ordre du jour qui a été établi auparavant et accepté par les participants. Ahmed Zaidi a rappelé également que le dossier ne pouvait être soumis à ladite commission puisque la question est entre les mains des Nations unies et que la tentative de son introduction dans les débats de la commission était nulle et non avenue. De plus, a ajouté le membre du Bureau politique de l’USFP, il n’est pas du ressort de l’Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne (APEM)’ de soulever ce dossier, car ses objectifs et ses champs d’action ne lui permettent pas d’aborder la question du Sahara marocain qui n’a aucun rapport avec ladite commission, encore moins avec l’Assemblée euro-méditerranéenne. Rappelons que cette dernière a été instaurée à partir du processus de Barcelone et qui a un rôle purement consultatif tout en adoptant des résolutions ou des recommandations non contraignantes. Devant l’intervention, l’insistance et l’argumentation du président du Groupe socialiste à la Chambre des représentants, la proposition de la présidente a été retirée et les débats se sont poursuivis sur les différents points de l’ordre du jour. « Au Maroc, nous avons opté pour la transition démocratique dans le cadre de la continuité de l’Etat et sur la base de la modernisation des modes de gouvernance en adoptant des réformes institutionnelles et constitutionnelles profondes contrairement à d’autres pays où il y a eu effusion de sang », a tenu à préciser Ahmed Zaidi. Et le député socialiste de conclure que l’USFP a été à l’origine du déclenchement de ce processus de transition démocratique qui a débuté dans les années 90.