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La police judiciaire d’Agadir a arrêté le dénommé Abdellah Lablihi, membre du conseil préfectoral alors qu’il percevait des pots-de-vin dans sa voiture devant un café de l’Avenue Hassan II à Agadir.
C’est à la suite d’une plainte de l’exploitant du camping «Atlantic parc», situé entre les communes rurales d’Aourir et de Taghazout, au niveau de la plage Imourane, auprès du procureur du Roi au tribunal de 1ère instance d’Agadir, au sujet de menaces et de tentatives d’extorsions de la part de Abdellah Lablihi (RNI), 1er vice-président de la commune rurale d’Aourir, que la police judiciaire a monté un scénario pour arrêter ce dernier en flagrant délit. Abdellah Lablihi réclamait 20 mille dh de dessous de table pour délivrer un permis de construire dans le camping. Une pratique, dit le plaignant, qui se répète chaque fois qu’il devait solliciter les services de cette commune notamment du 1er vice-président.
Le mis en cause a été arrêté à l’intérieur de son véhicule alors qu’il percevait les 20 mille dh dont les numéros de série ont été relevés par la police. Le procureur du Roi a ordonné l’ouverture d’une enquête dans cette affaire qui a soulevé l’indignation des habitants d’Aourir.
C’est à la suite d’une plainte de l’exploitant du camping «Atlantic parc», situé entre les communes rurales d’Aourir et de Taghazout, au niveau de la plage Imourane, auprès du procureur du Roi au tribunal de 1ère instance d’Agadir, au sujet de menaces et de tentatives d’extorsions de la part de Abdellah Lablihi (RNI), 1er vice-président de la commune rurale d’Aourir, que la police judiciaire a monté un scénario pour arrêter ce dernier en flagrant délit. Abdellah Lablihi réclamait 20 mille dh de dessous de table pour délivrer un permis de construire dans le camping. Une pratique, dit le plaignant, qui se répète chaque fois qu’il devait solliciter les services de cette commune notamment du 1er vice-président.
Le mis en cause a été arrêté à l’intérieur de son véhicule alors qu’il percevait les 20 mille dh dont les numéros de série ont été relevés par la police. Le procureur du Roi a ordonné l’ouverture d’une enquête dans cette affaire qui a soulevé l’indignation des habitants d’Aourir.
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