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Dans un premier temps, le juge d’instruction avait rejeté la demande de mise en liberté provisoire des mis en cause dans ce dossier et provoqué la réunion de la Chambre d’Al Machoura composée des présidents des différentes Chambres de la cour pour y statuer. On se rappelle que le dixième élève impliqué dans cette affaire, qui a pris une tournure sécuritaire étrange, comparaîtra en début du mois prochain devant le tribunal militaire.
Cette décision a été bien accueillie à Khénifra tant au niveau des parents que chez les enseignants qui ont reproché aux responsables de privilégier l’approche sécuritaire à celle plus éducative et pédagogique fondée sur le dialogue, la concertation et l’intervention rapide pour contourner le problème.
Les cinq inculpés mis en liberté étaient poursuivis pour non dénonciation de l’acte commis par leurs camarades de classe, consistant à confectionner des bombes artisanales en vue de les faire exploser dans une salle de cours vide puis récidiver afin de protester, selon les dires des élèves, contre les agissements d’un professeur jugé peu pédagogue. Cette affaire allait alors prendre une autre dimension dans laquelle le sécuritaire et l’appréhension d’actes terroristes ainsi que les rapports alarmants de certains services, allaient faire de ces bons élèves, des criminels dont l’avenir est incertain.
On apprend aussi que d’autres élèves qui ont été auditionnés par la police puis relaxés, ainsi que le prof en question ont été convoqués en tant que témoins par le juge d’instruction de la Cour d’appel de Meknès.