-
Casablanca rejoint le réseau mondial C40 des villes engagées dans des actions climatiques
-
Débat à Salé sur l'importance de la loi sur les peines alternatives dans le système pénal national
-
Clôture à Fès des travaux de la 6ème session ordinaire du Conseil supérieur de la Fondation Mohammed VI des oulémas africains
-
Une conférence à Marrakech explore le rôle des instances de gouvernance dans la protection des droits et libertés
-
Célébration à Tanger du centenaire de l’adoption de la législation régissant la profession d’avocat au Maroc
Procéder actuellement à une évaluation ne serait pas judicieux. Le ministre de l’Intérieur a rendu publics quelques résultats globaux dont il est difficile de tirer des enseignements. On attendra les résultats détaillés au niveau de chaque ville, de chaque circonscription et on procédera à une comparaison avec les résultats de 2003 avant de faire une évaluation exhaustive. Chose à laquelle nous travaillerons dans les jours qui viennent. Mais ce que l’on peut dire d’ores et déjà, c’est que l’USFP regrette l’usage de l’argent lors de ces élections à des proportions alarmantes, en dépit de tous les efforts qui ont été déployés pour limiter ce phénomène. Des violations dont la gravité diffère selon les villes.
La deuxième étape est la constitution des bureaux des conseils communaux. Quelle stratégie allez-vous adopter au niveau des alliances ?
Notre stratégie pour les alliances n’a pas changé. Ce sont des élections locales qui concernent des questions et des préoccupations de proximité (routes, éclairages, etc), nous avons alors préféré conférer aux responsables locaux toute la latitude de procéder aux alliances qui leur permettront d’optimiser leur participation à la gestion locale. Bien entendu, on a mis en place des garde-fous et des critères qu’il faudrait respecter avant toute alliance. Il faut qu’ils s’allient avec des personnes compétentes et politiquement intègres. On ne peut aucun cas mettre notre main dans celle des personnes qui ont contribué à la dépravation de l’opération électorale. Et bien entendu, il faut se mettre d’accord sur un programme partagé par tous, qui répond au mieux aux aspirations et attentes des citoyens. Hormis ces critères, aucun veto ne sera levé, quel que soit le parti.