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La rentrée politique, les réformes, les alliances ainsi que les perspectives du développement de la pratique politique ont constitué les axes essentiels débattus au cours de cette rencontre qui a drainé, outre des militants du parti, une grande assistance.
" Tous les citoyens marocains sont appelés à adhérer à l'édification d'un Etat qui se doit de rompre avec les mauvaises pratiques, et d'assumer ses responsabilités vis-à-vis des citoyens, d'autant plus que la région évolue dans un contexte international des plus complexes ", a-t-il souligné. Tout en indiquant que " tous les citoyens connaissent parfaitement les prévaricateurs dans la Justice, la politique et dans les institutions ", Abdelhadi Khairat a fait savoir qu'il est temps pour l'Etat de passer à l'action et sévir contre ces derniers.
S'agissant de l'alternance consensuelle, Abdelhadi Khairat a tenu à préciser que l'approche concernant cette question doit se faire sur la base que l'USFP n'est nullement un parti comme les petites formations, mais un prolongement du mouvement national de libération.
Concernant la conjoncture actuelle, Abdelhadi Khairat a indiqué que le pays se trouve devant un paradoxe pour le moins étrange, avec notamment ces parties qui nourrissent une nostalgie irrésistible pour le passé. Ce qui nous amène à se poser plus d'interrogations.
Au sujet des alliances au Maroc, M.Khairat a tenu à préciser que ce processus ne ressemble en rien à ce qui se passe dans des pays où les choses sont claires, les us ancrés et les infrastructures solides. Ajoutant que tout ce que nous faisons aujourd'hui, c'est d'opérer des alliances alors que nous nous inquiétons pour notre pays dont les frontières sont menacées à l'est, au sud et au nord.
Le membre du Bureau politique de l'USFP a relevé également la stratégie de certains intéressés qui exploitent la presse pour attaquer les partis. Sachant que le développement des nations est conditionné par les partis politiques et que ladite stratégie devra être contrecarrée afin de redonner à l'action politique son vrai sens.
Abdelhadi Khairat a soulevé les problèmes que connaît le parti, tant au niveau du BP que de la Chabiba Ittihadia. Affirmant à ce propos qu'ils peuvent être résolus et qu'il ne faut aucunement les surdimensionner. L'important est l'avenir de notre pays et le nationalisme sincère, a-t-il précisé.
A la question de la Gauche, Abdelhadi Khairat a indiqué qu'il y a des lignes rouges et que notre nationalisme nous interdit de tendre la main à ceux qui ne croient pas à notre intégrité territoriale, même étant de la Gauche.