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Fin novembre, des factions syriennes proturques ont lancé une offensive contre les Forces démocratiques syriennes (FDS, dominées par les Kurdes) dans le nord du pays.
Ces combats ont été déclenchés parallèlement à une offensive fulgurante lancée depuis le nord-est par une coalition de rebelles, dominée par des islamistes radicaux, qui leur a permis d'arriver à Damas et de prendre le pouvoir.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), sept combattants proturcs ont été tués lors de violents combats lundi dans la région de à Manbij (nord-est).
Des combattants des FDS se sont infiltrés dans la ville reprise par les forces soutenues par Ankara début décembre, a précisé l'ONG.
Six autres combattants proturcs et trois membres des FDS avaient été tués la veille dans ce secteur, selon l'ONG basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie.
En outre, 13 combattants de factions proturques et deux membres des FDS ont été tués dimanche dans des "combats acharnés" dans la province d'Alep, près du barrage de Techrine et d'un pont stratégique enjambant l'Euphrate, selon la même source.
Les FDS ont annoncé lundi avoir mené des attaques qui leur ont permis de "détruire deux radars, un système de brouillage et un char de l'occupation turque" près de ce pont.
Les Unités de protection du peuple kurde (YPG), épine dorsale des FDS soutenues par les Etats-Unis, ont été le fer de lance de la lutte contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI).
Ankara considère les YPG comme une extension du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), sa bête noire.