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1. George Clooney et L'attaque des Tomates Tueuses (1978) : avant d'être l'un des plus grands acteurs américains « bankabeulement » parlant du moins, avant l'engagement politique, avant Urgences, Gorgeous George était aux prises avec de très méchantes tomates. A tel point que 10 ans plus tard, il a récidivé dans le « Retour des Tomates Tueuses». What else?
2. Sylvester Stallone et The Italian Stallion (1970): en 1969 (tiens donc…) Sly avait faim, très faim. Malheureusement, ce film érotique est ressorti en 1976 après le succès de Rocky sous le nom d' « Italian Stallion » en référence au surnom du boxeur. La scène de Rocky dans l'abattoir prend un tout autre sens…
3. Charlize Theron et Les Démons du Maïs 3 (1994): il fallait au moins un Oscar pour oublier la série d'horreur agricole (qui compte 7 films, tout de même). Charlize, pour nous, tu fais ce que tu veux, on ne t'en voudra jamais.
4. Arnold Schwarzenegger et Hercule à New-York (1970): premier rôle, premier (gros) nanar. Bien joué. Ça donnait déjà un peu l'idée du reste de la carrière qui allait suivre. Au moins il avait donné le ton tout de suite.
5. Michael J. Fox et Teenwolf (1985): c'était les 80?s, c'était une bonne excuse. La seule, en fait. Surfant sur le revival des loups-garous, une série éponyme inspirée du film a vu le jour en 2011 sur MTV ; série, qui elle, ne bénéficie pas de l'excuse précédemment avancée.
6. Leonardo DiCaprio et Critters 3 (1994): avant celui du Titanic, DiCaprio a vécu un autre naufrage avec des petits animaux à poil.
7. Daniel Auteuil et Les Sous-Doués (1980): la vraie comédie lourdingue franchouillarde comme on l'aime. Au moins Daniel Auteuil assume totalement ce film (et sa suite, en 1982).
8. Robin Williams et Popeye (1980): pour le premier rôle de Robin Williams, un navet, certes, mais un navet de luxe, puisque réalisé par Robert Altman. Il y a pire comme début. Et mister Williams n'est pas le genre d'acteur à renier quoi que ce soit (on l'a même vu dire du bien de Jumanji).
9. Charlotte Rampling, Sean Connery et Zardoz (1973) : un film post-apocalyptique de John Boorman, avec effets spéciaux hasardeux et scénario incongru.
10. Samuel L. Jackson Des serpents dans l'avion (2006): il est toujours bon de penser que tout le monde, même les plus riches, ne sont pas à l'abri de problèmes d'impôts. Nous ne voyons en effet pas d'autres explications à la participation de Samuel L. Jackson à cette triste daube. Le titre aurait pourtant dû suffire à se méfier.