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Dans un communiqué rendu public à l’issue de sa session extraordinaire tenue samedi à Rabat, le Conseil national a appelé la commission préparatoire à accélérer le rythme de ses travaux afin de tenir le congrès général avant fin mars 2017.
Par ailleurs, le Conseil national a réaffirmé la volonté du PI de participer au prochain gouvernement, se disant prêt à œuvrer de manière effective aux côtés des forces nationales démocratiques sans conditions au service de l’intérêt général du pays et pour donner à la démocratie son sens et sa profondeur réels, abstraction faite de la position du parti dans ce qui va survenir dans le futur. Dans ce cadre, le Conseil national a mandaté une délégation de dirigeants composée de trois membres du parti pour poursuivre les consultations avec le chef du gouvernement au sujet de la formation du prochain gouvernement.
Le communiqué réaffirme que le PI sera d'un appui politique fort et d'un soutien effectif à Abdelilah Benkirane et à travers lui à son parti, aussi bien dans l’institution législative que dans la pratique politique, ajoutant que le parti se considère comme un membre de la majorité parlementaire, abstraction faite des développements que va connaître la formation du futur gouvernement, ce qui va baliser le terrain à une nouvelle étape pour le rassemblement des forces nationales et leur alliance pour faire face à tous les défis.
Le Conseil national du PI a d'autre part réitéré la position constante du parti au sujet de l’intégrité territoriale du Royaume dans le Nord comme dans le Sud, faisant part de sa mobilisation constante derrière SM le Roi pour faire face à tous les dangers qui guettent l’intégrité territoriale.
A noter, par ailleurs, que Hamid Chabat a présenté ses excuses «au président, au gouvernement et au peuple mauritanien», dans un édito paru jeudi en une du journal Al Alam.
Le 24 décembre, il avait déclaré au cours d'un meeting que la Mauritanie est «une terre marocaine». Ses déclarations s'inscrivaient dans «un contexte historique passé et révolu» et «ses propos ont été sortis de leur contexte», avait expliqué à l'AFP le porte-parole de l'Istiqlal, Adil Benhamza.
Devant la levée de boucliers à Nouakchott concernant les propos de Chabat, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération avait condamné ses «déclarations irresponsables et dangereuses» et S.M le Roi s'était entretenu par téléphone avec le président Mohammed Ould Abdelaziz pour «dissiper tout malentendu».