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Cette journée mondiale commémore la signature de la Convention de Ramsar, ratifiée par le Maroc en 1980, laquelle convention souligne l’engagement international pour la préservation et l’utilisation rationnelle des zones humides.
Il est à souligner qu’en marge de ladite journée, le HCEFLCD a signé quatre conventions de partenariat en faveur du développement et de la préservation de ces écosystèmes naturels. Lesquels, en plus de regorger de biodiversité et de constituer un moyen vital de stockage du carbone, «fournissent l’eau et la purifient tout en rechargeant la nappe phréatique, procurent les aliments pour des milliards de personnes, protègent contre les inondations et les sécheresses et assurent la protection du littoral», a-t-on rappelé.
La première convention vise à mobiliser les ressources financières et humaines en faveur des zones humides, tandis que la deuxième «ambitionne de promouvoir l’animation au sein des espaces naturels y compris les zones humides et de valoriser les patrimoines naturels et culturels notamment par l’écotourisme», a expliqué le Haut Commissariat.
Le troisième accord vise à mettre en place des cycles de formation en matière de conservation et de gestion des espaces naturels au sein de l’Ecole supérieure de technologie de Khénifra. Le quatrième accord porte sur le développement de la filière de pêche commerciale au niveau de la région Tadla-Azilal et l’augmentation de la production piscicole de la région, estimée actuellement à 750 tonnes, à plus de 3000 tonnes par an à l’horizon 2020.
Précisant sa stratégie et le plan d’action des zones humides 2015-2024, le HCEFLCD a indiqué que les résultats de son précédent programme étaient satisfaisants.