Autres articles
Perdre un match ? Ce n’est sûrement pas la fin du monde. La victoire et la défaite, c’est ce qui fait d’ailleurs le charme du sport.
Mais ni l’une ni l’autre ne font la dignité d’une équipe qui dépend en grande partie de la dignité de ses dirigeants.
Samedi dernier, en guise de match, le Raja a fait illusion, l’espace de quelques minutes, avant de choir, avant que ses joueurs dont certains demeurent trop grisés par cette prestation heureuse car inespérée au dernier Mondial des clubs et d’autres acquis entre-temps, au prix d’or, ne s’emmêlent les godasses. Le résultat, on le connaît. Les joueurs pratiquement inconnus du Hassania « local » ont ridiculisé les stars supposées du Raja « mondial ».
On ne peut parler de surprise. C’est la logique même. Ce qui s’est passé au match retour des 8ème de finale de la Coupe du Trône, contre l’AS-FAR est trop récent, trop lancinant et trop dégoûtant pour être oublié.
Un Jawad Issen qui réussit l’exploit de récolter deux avertissements en l’espace de cinq minutes et qui abandonne ses coéquipiers en esquissant un large sourire.
Un Belmaâlem, tout capitaine qu’il était, qui agresse bêtement et sauvagement un joueur adverse pour se faire expulser.
Auparavant, au match aller, c’est le keeper Laâskri qui avait tout aussi tristement défrayé la chronique en s’en prenant à l’arbitre à la fin du match.
Là, il est revenu après quelque quatre matchs de suspension, tout comme Capitaine Belamaâlem, consacré à l’occasion super capitaine.
Issen ? Ce sera sans doute la prochaine surprise. Mais il faut peut-être penser, en premier, à limoger le coach Romao. N’a-t-on pas fait la même chose, et de la manière la plus stupide qui soit, avec Benchikha ?
A Boudrika and co, je dirais que le Raja n’a jamais été un foutoir. Porter le maillot vert, ça se mérite. Pour ne pas l’avoir compris, ce sont cinq buts que l’on a encaissés avec vos Belmaâlem et Laâskri chéris.
Mais ni l’une ni l’autre ne font la dignité d’une équipe qui dépend en grande partie de la dignité de ses dirigeants.
Samedi dernier, en guise de match, le Raja a fait illusion, l’espace de quelques minutes, avant de choir, avant que ses joueurs dont certains demeurent trop grisés par cette prestation heureuse car inespérée au dernier Mondial des clubs et d’autres acquis entre-temps, au prix d’or, ne s’emmêlent les godasses. Le résultat, on le connaît. Les joueurs pratiquement inconnus du Hassania « local » ont ridiculisé les stars supposées du Raja « mondial ».
On ne peut parler de surprise. C’est la logique même. Ce qui s’est passé au match retour des 8ème de finale de la Coupe du Trône, contre l’AS-FAR est trop récent, trop lancinant et trop dégoûtant pour être oublié.
Un Jawad Issen qui réussit l’exploit de récolter deux avertissements en l’espace de cinq minutes et qui abandonne ses coéquipiers en esquissant un large sourire.
Un Belmaâlem, tout capitaine qu’il était, qui agresse bêtement et sauvagement un joueur adverse pour se faire expulser.
Auparavant, au match aller, c’est le keeper Laâskri qui avait tout aussi tristement défrayé la chronique en s’en prenant à l’arbitre à la fin du match.
Là, il est revenu après quelque quatre matchs de suspension, tout comme Capitaine Belamaâlem, consacré à l’occasion super capitaine.
Issen ? Ce sera sans doute la prochaine surprise. Mais il faut peut-être penser, en premier, à limoger le coach Romao. N’a-t-on pas fait la même chose, et de la manière la plus stupide qui soit, avec Benchikha ?
A Boudrika and co, je dirais que le Raja n’a jamais été un foutoir. Porter le maillot vert, ça se mérite. Pour ne pas l’avoir compris, ce sont cinq buts que l’on a encaissés avec vos Belmaâlem et Laâskri chéris.
Stage des U15 en stage de préparation au Complexe Mohammed VI de football
