-
Annulation des accords Maroc-UE: Dépassée et sans impact la décision de la CJUE
-
L’USFP réitère sa position constante de soutien au droit du peuple palestinien à l’établissement de son Etat indépendant et appelle à la protection de l’intégrité territoriale du Liban
-
Le chef du gouvernement représente SM le Roi au XIXème Sommet de la Francophonie
-
Le Groupe des amis du multilatéralisme se réunit à Stockholm pour repenser l'avenir de la coopération internationale
-
Ahmed Lahlimi Alami fait le point sur le RGPH 2024
De nouvelles victimes qui s'ajoutent ainsi à la longue liste de migrants morts cette année en fuyant leurs pays d'origine dans l'espoir d'une vie meilleure et dont le nombre a cru de 5.000 décès par rapport à l'année précédente.
Le porte-parole de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), cité par The New York Times, a déclaré le 3 décembre dernier lors d'une réunion aux Nations unies, que jusqu'à présent 3.000 migrants ont péri noyés dans la Méditerranée, soit presque quatre fois le chiffre de 2013, et près de 5.000 migrants sont morts au cours de leurs pérégrinations à travers le monde. L’année dernière, l'OIM a signalé 2376 décès, avec la comptabilisation de 707 passages dangereux en Méditerranée. Une des pires noyades massives de migrants est survenue il y a trois mois près de Malte, lorsque 500 personnes ont péri suite au naufrage délibéré de leur bateau.
Les données de l’organisation intergouvernementale pour les questions de migration révèlent qu’un grand nombre de migrants décédés provenait de Syrie, de l’Irak et de Palestine.
Les mêmes données ont également démontré que la dernière guerre contre Gaza a provoqué un pic chez les personnes fuyant ce territoire. De même pour l'Irak et la Syrie qui ont enregistré une augmentation du nombre de départs.