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Dans un communiqué, le président du comité, Claudio Grossman, a souligné "l'importance" de l'initiative mondiale sur la lutte contre la torture dans les efforts visant à promouvoir la ratification universelle et la mise en œuvre de la Convention y afférente dans les prochains 10 ans.
La démarche maroco-danoise, lancée au niveau ministériel en marge de la 25e session du Conseil des droits de l'Homme, a dès le départ bénéficié du soutien actif du Chili, de l'Indonésie et du Ghana.
Il est temps de faire de la Convention contre la torture une réalité concrète 30 ans après son adoption", a affirmé M. Grossman qui a qualifié la mise en place de cet instrument international d'"avancée majeure dans la protection des droits de l'Homme".
Les Etats signataires "se doivent aujourd'hui de se conformer pleinement à leurs engagements pris dans le cadre de la convention", a-t-il estimé dans sa présentation du rapport annuel du Comité.
L'initiative mondiale sur la lutte contre la torture tend vers l'intensification de l'assistance technique aux pays en développement ainsi que du rôle des institutions nationales, des ONG et des experts académiques dans la réalisation des objectifs de la convention.
Depuis mars dernier, le Maroc, le Danemark, le Chili, l'Indonésie et le Ghana œuvrent en faveur d'une coopération régionale et interétatique afin de progresser vers la ratification universelle et la mise en œuvre du traité contre la torture.
Les promoteurs de l'initiative considèrent que le combat contre ce phénomène représente "un choix démocratique et stratégique irréversible et un engagement résolu en faveur de la protection et la promotion des droits de l'Homme".
Le Royaume s'est engagé ces dernières années dans une coopération constante avec les mécanismes internationaux des droits de l'Homme, dans un souci de mettre en œuvre ses engagements en termes de prévention et de lutte contre la torture et les mauvais traitements.
Il a dans ce cadre reçu la visite du Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ainsi que du groupe de travail sur la détention arbitraire.