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Cela, il n’y a pas beaucoup de gens qui peuvent le dire, je peux mourir à présent. Qui peut avoir le culot de dire cela? J’ai fait ma vie parce que j’avais envie et que c’était possible et ce n’est pas condamnable.”
S’il n’attend plus rien de la vie, Depardieu voudrait pouvoir tout réparer. “Il faut tout réparer, réparer de ne pas s’aimer, réparer les autres. Réparer, c’est accompagner, soulager la fatigue, enlever les frais, enlever la crainte.” Le comédien fait référence à son fils, mort en 2008. “Avec Guillaume, les choses se sont révélées. Il hurlait, ici, face à mon poitrail. Et ce n’est pas parce que tu laisses un enfant te hurler toutes les choses que tu n’as pas faites, ce n’est pas pour cela que tu comprends comment réparer. Tu reçois les hurlements en pleine gueule. Et tu ne sais toujours pas ce qu’est l’idée de réparer. Et alors, tu vis la douleur d’un père”.
Déçu par la France, il ajoute: “La France et son pouvoir si vide ne m’intéressent pas. La France ne sait pas ce qu’est la réparation.” Il est par contre toujours aussi fan de la Russie. “Je suis prêt à mourir pour la Russie parce que les gens y sont forts; je ne veux point crever comme un con dans la France de maintenant. Je ne crois pas en moi car j’ai été élevé dans des valeurs que je ne partage pas. Je ne me suis pas senti français.”