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Pour faire oublier les problèmes dans les camps, il demande aux soi-disant séparatistes de l’intérieur de semer le trouble dans les provinces du Sud.
C’est ainsi que les habitants des camps dont des élus et des cadres associatifs, des jeunes et des anciens combattants ont organisé des mouvements de protestation devant la direction du Polisario à Rabouni pour dénoncer la gabegie qui caractérise la gestion des hauts dirigeants du Polisario, Brahim Ghali a ordonné à ses sbires de l’intérieur de bouger pour donner aux populations des camps de quoi s’occuper.
En effet, les services de police ont détecté, dernièrement, les mouvements d’éléments en tenues «militaires» affiliés au Polisario dans les villes de Smara et de Dakhla. Selon nos informations, ces individus auraient reçu des instructions directes du Front Polisario pour tenter de provoquer le Maroc. Les services de Brahim Ghali auraient aussi chargé un journaliste européen d’enregistrer et de diffuser leurs manœuvres. Nos sources indiquent que des éléments du Polisario ont transporté, au grand jour, dans l’intention de provoquer les éléments des forces de l’ordre, des tenues militaires pour les distribuer à leurs affidés à Dakhla et Smara. Une opération qui s’est déroulée sous la surveillance des services de sécurité, qui ont rapidement démantelé la stratégie des séparatistes et ne se sont pas laissés prendre au piège.
Les instructions données par Brahim Ghali sont claires : il faut affronter les Marocains unionistes et la police, aussi bien dans les villes que dans les centres universitaires.
Les mêmes sources affirment que les éléments du Polisario et leurs soi-disant «dirigeants» ont commencé, depuis plusieurs semaines, à tenir des réunions en vue de préparer ces manœuvres dilatoires.
Les lieutenants de Ghali chargés de diriger ces opérations et qui font allégeance aux services de renseignement algériens ont étudié une panoplie de techniques d’escalade avant de se mettre d’accord sur l’organisation de leurs «entrainements militaires» pour affronter la police dans les centres universitaires.
Les médias qui ont rapporté ces informations, le vendredi 8 mars, indiquent que les provocations des séparatistes ont eu lieu à Laâyoune et Guelmim. Mais ils précisent que c’est à Smara que ces provocations ont atteint leur pic.
En effet, un groupe de jeunes en tenues militaires encagoulés ont effectué une exhibition dans l’une des artères de la ville. Ils ont, par la suite, brandi le drapeau du Polisario sous les regards consternés des passants qui ont vivement condamné leur comportement. Les mêmes sources affirment que les services de sécurité ne sont pas tombés dans le piège de ces fauteurs de troubles et se sont contentés de les surveiller. A la fin de ce manège, une fille a offert un drapeau aux neuf faux militaires qui, bien que n’étant pas suivis, se sont lancés dans une course effrénée.
Nos sources qualifient cette scène de parodie qui a été reproduite dans plusieurs quartiers des villes de Smara, Guelmim, Laâyoune et Dakhla dans le but de provoquer les fonctionnaires et les autorités locales.
Plusieurs affidés du Polisario ont filmé ces agissements mais ils n’ont pu diffuser ces images en Europe par le biais de l’écrivain français qui était chargé de cette mission. Ce dernier était présent à Laâyoune au prétexte de préparer un livre sur le Sahara, mais son déplacement à Smara a révélé la nature de ses relations et de sa véritable mission.
Les mêmes sources indiquent que les services de police ont mené une enquête sur l’identité des «militaires» encagoulés. D’autant que certains d’entre eux ont poussé l’effronterie jusqu’à agresser physiquement des Marocains qui refusaient toute atteinte à l’intégrité territoriale du pays. L’enquête a révélé que ces séparatistes sont en contact avec des Algériens et des dirigeants du Polisario et qu’ils reçoivent de l’aide financière en provenances de sources diverses.
Le Maroc dispose d’un dossier complet, avec des photos des mouvements de ces séparatistes qui, malgré la grande mobilisation de leurs «maîtres», ont échoué dans la réalisation de leurs objectifs.