-
Annulation des accords Maroc-UE: Dépassée et sans impact la décision de la CJUE
-
L’USFP réitère sa position constante de soutien au droit du peuple palestinien à l’établissement de son Etat indépendant et appelle à la protection de l’intégrité territoriale du Liban
-
Le chef du gouvernement représente SM le Roi au XIXème Sommet de la Francophonie
-
Le Groupe des amis du multilatéralisme se réunit à Stockholm pour repenser l'avenir de la coopération internationale
-
Ahmed Lahlimi Alami fait le point sur le RGPH 2024
Ainsi, le tribunal condamné, dans le premier dossier, (M.Z) à 4 ans de prison ferme pour «constitution d'une bande dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter atteinte à l'ordre public avec récidive, possession d'armes et leur utilisation en violation des lois en vigueur».
Selon les procès-verbaux de la police judiciaire, le mis en cause «a rejoint l'organisation de l'Etat islamique pour participer au jihad».
Le tribunal a également prononcé, dans le second dossier, une peine de quatre ans de prison ferme à l'encontre de l'accusé principal, trois ans de prison ferme à l'encontre de trois personnes, et deux ans de prison ferme à l'encontre de 3 autres personnes poursuivies pour «constitution d'une bande dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter atteinte à l'ordre public, apologie de terrorisme et tenue de réunions sans autorisation».
Dans le troisième dossier, une personne a écopé de trois ans de prison ferme, alors qu'un Marocain portant la nationalité française a été condamné, dans le quatrième dossier, à trois ans de prison ferme pour «apologie d'actes constituant un crime terroriste».
Trois personnes ont écopé de deux ans de prison ferme, dans le cadre du cinquième dossier, poursuivies pour «constitution d'une bande dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter atteinte à l'ordre public, soutien de personne souhaitant commettre un acte terroriste, non dénonciation d'acte terroriste et tenue de réunions sans autorisation préalable».