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L'IBA (International Boxing Association) "n'a pas amélioré sa transparence financière", a argumenté le TAS pour justifier sa décision, et "n'a pas changé ses processus visant à assurer l'intégrité des arbitres et des juges"
En juin 2023, au terme de quatre ans de conflit, le Comité international olympique (CIO) avait officiellement banni l'IBA de son giron, lui reprochant notamment des problèmes de gouvernance, des scandales d'arbitrage à répétition ou encore sa dépendance financière persistante au géant russe Gazprom.
En conséquence, l'IBA a perdu définitivement l'organisation des tournois olympiques de boxe et la manne financière qui l'accompagne. Le CIO a mis directement en place une instance pour organiser le processus de qualification et le tournoi olympique.
Parallèlement, une nouvelle structure a vu le jour, World Boxing, propulsée en coulisses par plusieurs fédérations occidentales, et déjà rejointe par la Suisse et les Etats-Unis, qui accueilleront les prochains Jeux olympiques à Los Angeles en 2028.
Lors de l'audience devant le TAS en novembre, l'IBA avait indiqué qu'en cas de décision défavorable, elle se tournerait vers une juridiction suisse pour faire invalider le verdict de la justice sportive.