Des cinéastes marocains et mauritaniens ont appelé, lors des rencontres organisées en marge de la 2ème édition du Festival international du film de Nouakchott (22-26 octobre), à réaliser des projets cinématographiques communs en vue de donner un nouvel élan à la coopération culturelle entre les deux pays.
Ces professionnels du septième art des deux pays ont souligné, dans des déclarations à la MAP, qu'il existe un terrain propice à la réalisation d’œuvres cinématographiques communes, eu regard aux liens culturels, sociaux, historiques et spirituels qui les unissent.
Le directeur du Festival du film de Nouakchott, Mohamed Mostafa Ould El Bane, a indiqué que les moyens de produire un film documentaire basé sur un thème qui renvoie aux points communs entre les deux peuples ont été effectivement discutés lors de l'édition 2024 de cette manifestation culturelle.
En coordination avec la direction du festival, les cinéastes des deux pays œuvrent pour l'organisation d'une caravane cinématographique de la Mauritanie vers le Maroc ou vice versa, répandant la beauté dans tous les espaces qu'elle traverse.
Pour sa part, le directeur artistique du festival, Mohamed Edoumou, a noté que les deux parties sont animées par une forte volonté de réaliser une coproduction cinématographique, estimant que l'Histoire commune entre les deux pays pourrait faire l'objet de films ou de documentaires.
Lors d'une rencontre organisée par la présidente de la région de Nouakchott, Fatima bint Abdelmalek, en l'honneur des invités du festival, l'accent a été mis sur l'importance de valoriser les liens historiques, culturels et civilisationnels entre les peuples marocain et mauritanien.
Dans ce contexte, le jeune réalisateur marocain Ahmed El Kadiri, qui a participé à la compétition officielle de courts métrages avec le film "Bendir Lala", a jugé primordial de favoriser la mise en réseau entre les divers acteurs du secteur des deux pays pour contribuer au développement de l'industrie cinématographique.
De son côté, Miloud Bouamama, l'un des fondateurs du Festival international maghrébin du film d'Oujda, a fait savoir que le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako sera honoré lors de la 13ème édition du festival, qui se tiendra du 5 au 9 novembre.
Une convention sera signée entre le Festival du film maghrébin d'Oujda et le Festival international du film de Nouakchott en marge de cet évènement pour soutenir la production cinématographique et encourager les jeunes à s'engager dans le cinéma.
Ces professionnels du septième art des deux pays ont souligné, dans des déclarations à la MAP, qu'il existe un terrain propice à la réalisation d’œuvres cinématographiques communes, eu regard aux liens culturels, sociaux, historiques et spirituels qui les unissent.
Le directeur du Festival du film de Nouakchott, Mohamed Mostafa Ould El Bane, a indiqué que les moyens de produire un film documentaire basé sur un thème qui renvoie aux points communs entre les deux peuples ont été effectivement discutés lors de l'édition 2024 de cette manifestation culturelle.
En coordination avec la direction du festival, les cinéastes des deux pays œuvrent pour l'organisation d'une caravane cinématographique de la Mauritanie vers le Maroc ou vice versa, répandant la beauté dans tous les espaces qu'elle traverse.
Pour sa part, le directeur artistique du festival, Mohamed Edoumou, a noté que les deux parties sont animées par une forte volonté de réaliser une coproduction cinématographique, estimant que l'Histoire commune entre les deux pays pourrait faire l'objet de films ou de documentaires.
Lors d'une rencontre organisée par la présidente de la région de Nouakchott, Fatima bint Abdelmalek, en l'honneur des invités du festival, l'accent a été mis sur l'importance de valoriser les liens historiques, culturels et civilisationnels entre les peuples marocain et mauritanien.
Dans ce contexte, le jeune réalisateur marocain Ahmed El Kadiri, qui a participé à la compétition officielle de courts métrages avec le film "Bendir Lala", a jugé primordial de favoriser la mise en réseau entre les divers acteurs du secteur des deux pays pour contribuer au développement de l'industrie cinématographique.
De son côté, Miloud Bouamama, l'un des fondateurs du Festival international maghrébin du film d'Oujda, a fait savoir que le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako sera honoré lors de la 13ème édition du festival, qui se tiendra du 5 au 9 novembre.
Une convention sera signée entre le Festival du film maghrébin d'Oujda et le Festival international du film de Nouakchott en marge de cet évènement pour soutenir la production cinématographique et encourager les jeunes à s'engager dans le cinéma.