Le rôle des anciens manuscrits, témoins d'une riche histoire et d'une culture millénaire, dans la préservation et la valorisation du patrimoine marocain a été au centre d’une rencontre, organisée jeudi à Rabat, dans le cadre du 29ème Salon international de l'édition et du livre (SIEL).
Initiée par l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du Sud du Royaume (APDS), cette rencontre a été l’occasion d’apporter des éclaircissements sur l'importance des anciens manuscrits dans la sauvegarde de l'héritage culturel marocain et d’ouvrir le débat entre les différents acteurs sur les contributions et rôles de ces documents aux niveaux national et international.
"Cette rencontre vise à sensibiliser et engager un dialogue constructif avec les visiteurs, ainsi qu'avec les partenaires institutionnels et la société civile, sur les enjeux culturels majeurs dans les régions du Sud du Royaume, notamment la question des manuscrits", a souligné, dans une déclaration à la presse, le directeur général de l'APDS, Jabrane Reklaoui.
M. Reklaoui a également indiqué que les manuscrits, véritable patrimoine culturel, mettent en avant la relation séculaire entre les régions du Sud et du Nord du Royaume et soulignent l’intégrité territoriale du Maroc.
Dans son intervention, le directeur du patrimoine culturel au ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mustapha Jlok, a, quant à lui, souligné que les manuscrits font partie de l’identité d’un peuple, d’une communauté et d’un pays, expliquant que ces documents représentent aussi une mémoire inscrite sur un support, relatant notamment l’histoire, la sociologie, les croyances et la relation de l’homme avec son environnement.
"Les manuscrits sont une composante indissociable de l'identité marocaine", a-t-il affirmé, relevant que le Maroc regorge de potentialités énormes en matière de manuscrits et que cela constitue une réelle richesse patrimoniale.
Pour sa part, le professeur des relations internationales et de droit international à l'université Cadi Ayyad de Marrakech, Abdelfattah El Belamachi, a noté que les manuscrits jouent un rôle important dans le rayonnement et la préservation de la profondeur dont jouit le Maroc à l’échelle continentale et internationale.
"Les manuscrits peuvent aussi s'inscrire dans une diplomatie douce afin de préserver les droits et intérêts du Royaume, notamment en ce qui concerne la question du Sahara marocain et de l'intégrité territoriale", a-t-il affirmé.
Les panélistes ont, en outre, présenté un ensemble de données et d'informations sur les manuscrits et les bibliothèques privées contenant des documents anciens très importants.
Placée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI et organisée par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication en partenariat avec la wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra, la région de Rabat-Salé-Kénitra et la commune de Rabat, la 29ème édition du SIEL connaît la participation de 743 exposants représentant 48 pays, avec comme invitée d’honneur l’UNESCO.
Initiée par l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du Sud du Royaume (APDS), cette rencontre a été l’occasion d’apporter des éclaircissements sur l'importance des anciens manuscrits dans la sauvegarde de l'héritage culturel marocain et d’ouvrir le débat entre les différents acteurs sur les contributions et rôles de ces documents aux niveaux national et international.
"Cette rencontre vise à sensibiliser et engager un dialogue constructif avec les visiteurs, ainsi qu'avec les partenaires institutionnels et la société civile, sur les enjeux culturels majeurs dans les régions du Sud du Royaume, notamment la question des manuscrits", a souligné, dans une déclaration à la presse, le directeur général de l'APDS, Jabrane Reklaoui.
M. Reklaoui a également indiqué que les manuscrits, véritable patrimoine culturel, mettent en avant la relation séculaire entre les régions du Sud et du Nord du Royaume et soulignent l’intégrité territoriale du Maroc.
Dans son intervention, le directeur du patrimoine culturel au ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mustapha Jlok, a, quant à lui, souligné que les manuscrits font partie de l’identité d’un peuple, d’une communauté et d’un pays, expliquant que ces documents représentent aussi une mémoire inscrite sur un support, relatant notamment l’histoire, la sociologie, les croyances et la relation de l’homme avec son environnement.
"Les manuscrits sont une composante indissociable de l'identité marocaine", a-t-il affirmé, relevant que le Maroc regorge de potentialités énormes en matière de manuscrits et que cela constitue une réelle richesse patrimoniale.
Pour sa part, le professeur des relations internationales et de droit international à l'université Cadi Ayyad de Marrakech, Abdelfattah El Belamachi, a noté que les manuscrits jouent un rôle important dans le rayonnement et la préservation de la profondeur dont jouit le Maroc à l’échelle continentale et internationale.
"Les manuscrits peuvent aussi s'inscrire dans une diplomatie douce afin de préserver les droits et intérêts du Royaume, notamment en ce qui concerne la question du Sahara marocain et de l'intégrité territoriale", a-t-il affirmé.
Les panélistes ont, en outre, présenté un ensemble de données et d'informations sur les manuscrits et les bibliothèques privées contenant des documents anciens très importants.
Placée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI et organisée par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication en partenariat avec la wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra, la région de Rabat-Salé-Kénitra et la commune de Rabat, la 29ème édition du SIEL connaît la participation de 743 exposants représentant 48 pays, avec comme invitée d’honneur l’UNESCO.