Autres articles
-
La créativité espagnole à l'honneur au FIAV de Casablanca
-
"Le Maroc terre d’explorateurs", thème d’une exposition à Doha qui met en lumière le patrimoine du Royaume
-
Poésie et peinture de Loubaba Laalej: Un Banquet où rayonnent complicité et complétude
-
Une œuvre du peintre marocain Mahi Binebine rejoint la collection permanente du Musée de l'île de Gorée
La 7ème édition du Salon international d’art contemporain se tiendra, du 23 au 30 septembre à Tanger, avec un programme riche et varié autour du thème "La Pureté".
Initiée par l’Association Plume d’Afrique, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, cette manifestation culturelle d’envergure internationale s’apprête à renouer avec le succès de ses précédentes éditions, indique un communiqué des organisateurs, notant que cette édition aura comme invité d’honneur le Royaume du Bahreïn.
Au programme de cet événement figurent une exposition d’art contemporain, qui réunira plus de 50 artistes des quatre coins du monde, des ateliers, des conférences, des performances, des workshops, des visites guidées, des soirées poétiques et des concerts de musique.
Prévue à Borj Al Hajoui au cœur de l’ancienne médina de Tanger, ainsi qu’à la galerie Mohamed Drissi, cette édition se veut la vitrine de toutes les tendances actuelles de l’art contemporain d’ici et d’ailleurs.
Pour cette édition, l’évènement revient avec force et propose de découvrir les œuvres de plus de 50 artistes, toutes générations et tous styles confondus, issus des quatre coins du monde.
"Cette fois-ci, tous les styles et les techniques seront de la partie. De la figuration à l’art conceptuel en passant par l’abstraction, l’art brut, l’expressionnisme, le fantastique et l’insolite, toutes les tendances artistiques seront représentées, et les techniques aussi: médiums, supports, à l’huile, à l’aquarelle, à l’acrylique, mixte et collage, mais également des sculptures en marbre, en bronze, en fer, en bois, en matériaux composites et de récupération, mosaïques…", a souligné le président de l’Association Plume d’Afrique et fondateur du Salon, Abdelfattah Bellali, cité par le communiqué.
"Nous tenterons à travers cette édition de démontrer que nous pouvons intervenir comme une structure artistique performante. Le but de notre action est de modifier l’idée de l’art, loin des procédés stéréotypés, mais aussi de mettre l’art au croisement d’autres univers comme la musique, la poésie, la vidéo ou encore le slam…", a-t-il enchaîné, ajoutant: "Ceci donne lieu à un nouveau statut de l’art basé sur les valeurs de la proximité et de l’accessibilité, composant ainsi une masse critique optimale".
Chargée de symboles, cette édition fera le tour d’horizon des défis esthétiques de la création plurielle, notamment dans le rapport entre le style et le contenu de chacune des œuvres exposées.
Mais en dehors des catégorisations esthétiques, la manifestation entend mettre en valeur les échanges et les négociations entre les différents artistes qui président à la création et à son devenir.
Du Maroc, pays hôte de ce Salon, au Royaume du Bahreïn, invité d’honneur de cette édition, en passant par la France, la Hollande, la Belgique, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie, les Etats-Unis, le Liban, l’Inde, l’Arabie Saoudite, la Jordanie, le Cameroun, Madagascar…. l’évènement confirme cette année son statut de rendez-vous incontournable de l’art sur les plans national et international.
"Les artistes que nous avons retenus pour cette 7ème édition du Salon prévalent, chacun dans son domaine, quelle que soit leur appartenance générationnelle, par leur apport au plan de la recherche plastique comme à celui des réalisations", a relevé la plasticienne française, Monique Latouche, commissaire du Salon.
Elle a précisé que parmi les artistes sélectionnés figurent des artistes abstraits, semi-abstraits, figuratifs, des sculpteurs, des calligraphes, des artistes photographes, des vidéastes, et des artistes tous azimuts, qui s’inscrivent dans différents mouvements et tendances et attestent un dynamisme créatif évident.
Parallèlement à l’exposition d’art, plusieurs visites guidées sont prévues au profit des étudiants des différentes écoles de Tanger, et ce en vue de sensibiliser les jeunes à l’art et à ses multiples formes. Ce Salon privilégiera aussi le concept de la parole peinte, à travers des soirées dédiées à la poésie et au slam sur divers thèmes, notamment en rapport avec la pureté.
L’événement sera aussi l’occasion de passer de bons moments dans la détente avec des concerts de musique animés notamment par le maître de la musique andalouse, Omar Mettioui et son orchestre, ainsi que le Mâalem Abdellah El Gourd Boulkheir, maître incontesté de la musique Gnawa.
Le programme de cette édition comprendra aussi des tables rondes, des ateliers et des workshops, qui seront encadrés par une poignée d’artistes venus de divers horizons.
Cette nouvelle édition s’annonce comme une nouvelle fête de la création et se profile comme un espace de rencontre où les passionnés d’art, les professionnels, les artistes, les écoles d’art, les collectionneurs et le grand public sont les bienvenus. Et des découvertes picturales, des dialogues artistiques seront au rendez-vous, dans une véritable communion.
Initiée par l’Association Plume d’Afrique, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, cette manifestation culturelle d’envergure internationale s’apprête à renouer avec le succès de ses précédentes éditions, indique un communiqué des organisateurs, notant que cette édition aura comme invité d’honneur le Royaume du Bahreïn.
Au programme de cet événement figurent une exposition d’art contemporain, qui réunira plus de 50 artistes des quatre coins du monde, des ateliers, des conférences, des performances, des workshops, des visites guidées, des soirées poétiques et des concerts de musique.
Prévue à Borj Al Hajoui au cœur de l’ancienne médina de Tanger, ainsi qu’à la galerie Mohamed Drissi, cette édition se veut la vitrine de toutes les tendances actuelles de l’art contemporain d’ici et d’ailleurs.
Pour cette édition, l’évènement revient avec force et propose de découvrir les œuvres de plus de 50 artistes, toutes générations et tous styles confondus, issus des quatre coins du monde.
"Cette fois-ci, tous les styles et les techniques seront de la partie. De la figuration à l’art conceptuel en passant par l’abstraction, l’art brut, l’expressionnisme, le fantastique et l’insolite, toutes les tendances artistiques seront représentées, et les techniques aussi: médiums, supports, à l’huile, à l’aquarelle, à l’acrylique, mixte et collage, mais également des sculptures en marbre, en bronze, en fer, en bois, en matériaux composites et de récupération, mosaïques…", a souligné le président de l’Association Plume d’Afrique et fondateur du Salon, Abdelfattah Bellali, cité par le communiqué.
"Nous tenterons à travers cette édition de démontrer que nous pouvons intervenir comme une structure artistique performante. Le but de notre action est de modifier l’idée de l’art, loin des procédés stéréotypés, mais aussi de mettre l’art au croisement d’autres univers comme la musique, la poésie, la vidéo ou encore le slam…", a-t-il enchaîné, ajoutant: "Ceci donne lieu à un nouveau statut de l’art basé sur les valeurs de la proximité et de l’accessibilité, composant ainsi une masse critique optimale".
Chargée de symboles, cette édition fera le tour d’horizon des défis esthétiques de la création plurielle, notamment dans le rapport entre le style et le contenu de chacune des œuvres exposées.
Mais en dehors des catégorisations esthétiques, la manifestation entend mettre en valeur les échanges et les négociations entre les différents artistes qui président à la création et à son devenir.
Du Maroc, pays hôte de ce Salon, au Royaume du Bahreïn, invité d’honneur de cette édition, en passant par la France, la Hollande, la Belgique, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie, les Etats-Unis, le Liban, l’Inde, l’Arabie Saoudite, la Jordanie, le Cameroun, Madagascar…. l’évènement confirme cette année son statut de rendez-vous incontournable de l’art sur les plans national et international.
"Les artistes que nous avons retenus pour cette 7ème édition du Salon prévalent, chacun dans son domaine, quelle que soit leur appartenance générationnelle, par leur apport au plan de la recherche plastique comme à celui des réalisations", a relevé la plasticienne française, Monique Latouche, commissaire du Salon.
Elle a précisé que parmi les artistes sélectionnés figurent des artistes abstraits, semi-abstraits, figuratifs, des sculpteurs, des calligraphes, des artistes photographes, des vidéastes, et des artistes tous azimuts, qui s’inscrivent dans différents mouvements et tendances et attestent un dynamisme créatif évident.
Parallèlement à l’exposition d’art, plusieurs visites guidées sont prévues au profit des étudiants des différentes écoles de Tanger, et ce en vue de sensibiliser les jeunes à l’art et à ses multiples formes. Ce Salon privilégiera aussi le concept de la parole peinte, à travers des soirées dédiées à la poésie et au slam sur divers thèmes, notamment en rapport avec la pureté.
L’événement sera aussi l’occasion de passer de bons moments dans la détente avec des concerts de musique animés notamment par le maître de la musique andalouse, Omar Mettioui et son orchestre, ainsi que le Mâalem Abdellah El Gourd Boulkheir, maître incontesté de la musique Gnawa.
Le programme de cette édition comprendra aussi des tables rondes, des ateliers et des workshops, qui seront encadrés par une poignée d’artistes venus de divers horizons.
Cette nouvelle édition s’annonce comme une nouvelle fête de la création et se profile comme un espace de rencontre où les passionnés d’art, les professionnels, les artistes, les écoles d’art, les collectionneurs et le grand public sont les bienvenus. Et des découvertes picturales, des dialogues artistiques seront au rendez-vous, dans une véritable communion.