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Des chercheurs se penchent sur les défis de la langue arabe à l'ère du numérique et de l'IA
Cette année, le comité a reçu 195 candidatures de 17 pays arabes et 85 de 18 pays non-arabes, a déclaré Hanan Al-Fayyad, porte-parole et conseillère médiatique du Prix, précisant que la liste des participants à cette édition comprend des individus et des organisations impliqués dans la traduction.
Elle a expliqué que le nombre de nominations dans le domaine du livre unique a atteint 209, réparties entre 164 personnes et 45 organisations, contre 71 nominations dans le domaine de la réalisation, réparties entre 38 individus et 33 organisations.
Les œuvres nominées couvrent diverses disciplines des sciences humaines, notamment la littérature et les études islamiques, la philosophie et les sciences sociales, les sciences politiques et l'histoire.
Le français a été choisi comme langue principale à côté de l'anglais dans la catégorie des livres uniques, après avoir été choisi en 2017, tandis que le baloutche, le tatar, le hongrois et le yoruba ont été choisis comme des langues secondaires dans la catégorie des réalisations, le but étant de "stimuler les efforts de traduction de et vers l'arabe dans les pays arabophones et d'encourager la continuité de l'acculturation entre les sociétés de ces pays et les sociétés arabes", selon Mme Al-Fayyad.
Le prix s'adresse aux individus et aux institutions dans le domaine de la traduction pour honorer les réalisations et les efforts de longue haleine dans le domaine de la traduction et faire valoir l'apport des acteurs dans ce domaine au renforcement des liens d'amitié et de coopération entre les peuples, l'établissement de passerelles de communication entre les nations, et à la diffusion de la diversité, du pluralisme et de l'ouverture.
Lancé par le Qatar en 2015, le Prix vise à promouvoir une culture de la connaissance et du dialogue, et la culture arabe et islamique, à développer l'entente internationale et à favoriser l'acculturation féconde entre l'arabe et les autres langues du monde.