La 4ème édition du Salon maghrébin du livre d'Oujda offre “une programmation innovante” autour d'un thème reflétant l’histoire de cette manifestation littéraire, a souligné, mercredi, Mohamed Mbarki, président du Salon.
Dans une déclaration à la MAP en marge de la cérémonie d'ouverture de cet événement, M. Mbarki a relevé que cette nouvelle édition se distingue par l’organisation d’activités “intra-muros”, notant qu'un hommage sera rendu à d’éminentes personnalités nationales, dont feu Abdelkader Retnani, l’un des co-fondateurs du Salon, qui s’est notamment illustré par son engagement en faveur de la démocratisation de la littérature au niveau de la région de l’Oriental ainsi qu’au niveau national, et au nom duquel sera baptisée une des salles de la grande Bibliothèque régionale.
Et de souligner qu'un hommage sera également rendu à feue Amina El Louh, première romancière femme marocaine et à feu Mbarek Lahbil Bekkai, chef du premier gouvernement marocain, a-t-il détaillé.
Par ailleurs, le président du Salon a fait savoir que des activités “hors les murs” sont également prévues dans des lycées, à l’Université ainsi que dans la prison civile, notant que la population carcérale est “friande de discussions culturelles et intellectuelles”.
S’agissant du thème de cette édition, M. Mbarki a expliqué que cet évènement a été décidé en 2019, expliquant que des éditions qui ne se sont pas tenues ont été préparées durant ces quatre années d’interruption.
“Pendant 4 ans, nous avons organisé des salons différents en fonction du temps”, a-t-il fait remarquer, notant que le Salon s’est interrompu en 2020 jusqu’en 2021 à cause de la pandémie du Covid-19, avec une reprise très lente en 2022 et que l'édition actuelle, initialement prévue en octobre dernier, a dû être reportée en guise de solidarité avec les victimes du séisme d’Al Haouz.
“Durant ces 4 ans d’interruption, nous avons mesuré l’importance du temps”, a-t-il affirmé, relevant que cette édition du Salon “raconte son histoire”.
Et d’ajouter que cette histoire peut être "rebâtie" et "reconstituée" à travers les différentes étapes, tables rondes et panels prévus pour étudier le problème de la santé, du numérique, de l’isolement que pouvaient provoquer les mesures de protection du Covid, ainsi que des aspects positifs tels que la dématérialisation et l’organisation d’un concours de bande dessinée, où des jeunes ont été appelés à dessiner leurs quartiers et dont les œuvres ont été publiées dans un numéro spécial de la revue “l’Oriental en image”, après la mise en place d’un classement par un jury international de spécialistes.
“Cette 4ème édition se tient dans un contexte extrêmement favorable et positif sous le Haut patronage de SM”, s’est félicité M. Mbarki, mettant en avant la Haute sollicitude dont SM le Roi Mohammed VI entoure toutes les activités culturelles initiées dans la région de l’Oriental.
Mettant en exergue le caractère riche du programme de cette édition et les activités destinées à la jeunesse et à l’enfance, M. Mbarki a précisé que le Salon a veillé, pendant plusieurs mois, à l’organisation avec l’Académie régionale de l’éducation et de la formation d'un concours de lecture à voix haute, en 4 langues (arabe, amazigh, français et anglais) dont les vainqueurs ont été primés lors de la cérémonie d’ouverture.
Par ailleurs, il a indiqué que cette activité a créé “une émulation incroyable parmi les jeunes”, se disant “extrêmement ému” par l'enthousiasme de cette jeunesse qui "venaient parler de façon décidée dans toutes les langues du concours".
“Le Salon va produire à l’avenir beaucoup d’autres choses”, a souligné le président, affirmant que le Salon œuvre énormément dans le domaine du préscolaire, à travers l'organisation de plusieurs initiatives parmi lesquelles la distribution et l’achat, en coordination avec l'Académie régionale de l’éducation et de la formation, de 70 tableaux blancs interactifs pour les écoles du monde rural.
Dans une déclaration à la MAP en marge de la cérémonie d'ouverture de cet événement, M. Mbarki a relevé que cette nouvelle édition se distingue par l’organisation d’activités “intra-muros”, notant qu'un hommage sera rendu à d’éminentes personnalités nationales, dont feu Abdelkader Retnani, l’un des co-fondateurs du Salon, qui s’est notamment illustré par son engagement en faveur de la démocratisation de la littérature au niveau de la région de l’Oriental ainsi qu’au niveau national, et au nom duquel sera baptisée une des salles de la grande Bibliothèque régionale.
Et de souligner qu'un hommage sera également rendu à feue Amina El Louh, première romancière femme marocaine et à feu Mbarek Lahbil Bekkai, chef du premier gouvernement marocain, a-t-il détaillé.
Par ailleurs, le président du Salon a fait savoir que des activités “hors les murs” sont également prévues dans des lycées, à l’Université ainsi que dans la prison civile, notant que la population carcérale est “friande de discussions culturelles et intellectuelles”.
S’agissant du thème de cette édition, M. Mbarki a expliqué que cet évènement a été décidé en 2019, expliquant que des éditions qui ne se sont pas tenues ont été préparées durant ces quatre années d’interruption.
“Pendant 4 ans, nous avons organisé des salons différents en fonction du temps”, a-t-il fait remarquer, notant que le Salon s’est interrompu en 2020 jusqu’en 2021 à cause de la pandémie du Covid-19, avec une reprise très lente en 2022 et que l'édition actuelle, initialement prévue en octobre dernier, a dû être reportée en guise de solidarité avec les victimes du séisme d’Al Haouz.
“Durant ces 4 ans d’interruption, nous avons mesuré l’importance du temps”, a-t-il affirmé, relevant que cette édition du Salon “raconte son histoire”.
Et d’ajouter que cette histoire peut être "rebâtie" et "reconstituée" à travers les différentes étapes, tables rondes et panels prévus pour étudier le problème de la santé, du numérique, de l’isolement que pouvaient provoquer les mesures de protection du Covid, ainsi que des aspects positifs tels que la dématérialisation et l’organisation d’un concours de bande dessinée, où des jeunes ont été appelés à dessiner leurs quartiers et dont les œuvres ont été publiées dans un numéro spécial de la revue “l’Oriental en image”, après la mise en place d’un classement par un jury international de spécialistes.
“Cette 4ème édition se tient dans un contexte extrêmement favorable et positif sous le Haut patronage de SM”, s’est félicité M. Mbarki, mettant en avant la Haute sollicitude dont SM le Roi Mohammed VI entoure toutes les activités culturelles initiées dans la région de l’Oriental.
Mettant en exergue le caractère riche du programme de cette édition et les activités destinées à la jeunesse et à l’enfance, M. Mbarki a précisé que le Salon a veillé, pendant plusieurs mois, à l’organisation avec l’Académie régionale de l’éducation et de la formation d'un concours de lecture à voix haute, en 4 langues (arabe, amazigh, français et anglais) dont les vainqueurs ont été primés lors de la cérémonie d’ouverture.
Par ailleurs, il a indiqué que cette activité a créé “une émulation incroyable parmi les jeunes”, se disant “extrêmement ému” par l'enthousiasme de cette jeunesse qui "venaient parler de façon décidée dans toutes les langues du concours".
“Le Salon va produire à l’avenir beaucoup d’autres choses”, a souligné le président, affirmant que le Salon œuvre énormément dans le domaine du préscolaire, à travers l'organisation de plusieurs initiatives parmi lesquelles la distribution et l’achat, en coordination avec l'Académie régionale de l’éducation et de la formation, de 70 tableaux blancs interactifs pour les écoles du monde rural.