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Dans la partie d'échecs entre Pep Guardiola et Carlo Ancelotti, les entraîneurs de City et du Real en quart de finale retour de Ligue des champions, c'est l'Italien qui a fini par mettre "mat" l'Espagnol, gardant ainsi la main sur son disciple désigné.
Au bout du bout d'une rencontre tactique, à défaut d'être étincelante comme l'avait été l'aller, c'est le Real du "Mister" qui a battu le City de "Pep" aux tirs au but : (1-1, 4-3 t.a.b.).
Le "Mister" n'a pas menti: "Pep Guardiola peut rester tranquille, je ne ferai pas de magie demain" avait-il affirmé, sourire aux lèvres, la veille d'une rencontre censée départager deux des meilleurs techniciens de la planète.
Il est resté fidèle à la tactique qui sied le mieux à son équipe: une défense compacte, pratiquement insubmersible au service de flèches offensives, Vinicius et Rodrygo, capables d'exploiter les moindres miettes laissées par leurs adversaires.
Pep Guardiola non plus n'a rien inventé pour tenter de remporter la belle des belles face au Real Madrid, croisé à deux reprises en phase finale, lors des deux dernières éditions de la Ligue des champions.
Le tempétueux Catalan, intenable comme à son habitude, quand son homologue italien restait impassible quelle que soit l'intensité de la rencontre, a demandé à ses joueurs d'accaparer le ballon, d'exercer sur le Real un pressing incessant et de multiplier ainsi les assauts sur le but d'Andriy Lunin, le gardien ukrainien de Madrid, remplaçant de Thibault Courtois blessé de longue durée.
Longtemps, le plan établi par Guardiola s'est fracassé sur la défense déployée par Ancelotti, De Bruyne, Grealish, Foden et Haaland à plus forte raison, ne parvenant jamais à prendre le dessus sur Rüdiger, Nacho et consort.
Alors "Pep" s'est creusé les méninges et a fait rentrer Jérémy Doku. Quelques minutes plus tard, l'ailier belge a enfin pris de vitesse Dani Carvajal et offert à De Bruyne l'égalisation (1-1, 76e).
Mais la solidité défensive, impressionnante, du Real, symbolisée par Antonio Rüdiger, qui a offert la victoire aux siens en convertissant le dernier tir au but, a fini par prendre le pas sur les multiples tentatives offensives des Citizens.
La victoire sur le fil des Espagnols sur les Anglais permet à Ancelotti de prendre sa revanche sur Guardiola qui l'avait sèchement battu l'an passé en demi-finale à l'Etihad Stadium (4-0).
L'Italien, en outre, a réussi l'exploit de rompre l'impressionnante série d'invincibilité de City à domicile où les Anglais n'avaient plus perdu depuis 41 rencontres.
Plus personnellement, il accroît son avance sur son jeune homologue dans le nombre de victoires qu'ils cumulent en Ligue des champions.
Après la qualification du Real ce soir, Ancelotti compte désormais 115 victoires en Ligue des Ccampions pour 201 rencontres disputées. Guardiola reste pour l'heure bloqué à 109 matches gagnés pour 169 disputés.
Ancelotti peut encore espérer remporter une cinquième Ligue des champions en tant qu'entraîneur. Placide, comme toujours.
Au bout du bout d'une rencontre tactique, à défaut d'être étincelante comme l'avait été l'aller, c'est le Real du "Mister" qui a battu le City de "Pep" aux tirs au but : (1-1, 4-3 t.a.b.).
Le "Mister" n'a pas menti: "Pep Guardiola peut rester tranquille, je ne ferai pas de magie demain" avait-il affirmé, sourire aux lèvres, la veille d'une rencontre censée départager deux des meilleurs techniciens de la planète.
Il est resté fidèle à la tactique qui sied le mieux à son équipe: une défense compacte, pratiquement insubmersible au service de flèches offensives, Vinicius et Rodrygo, capables d'exploiter les moindres miettes laissées par leurs adversaires.
Pep Guardiola non plus n'a rien inventé pour tenter de remporter la belle des belles face au Real Madrid, croisé à deux reprises en phase finale, lors des deux dernières éditions de la Ligue des champions.
Le tempétueux Catalan, intenable comme à son habitude, quand son homologue italien restait impassible quelle que soit l'intensité de la rencontre, a demandé à ses joueurs d'accaparer le ballon, d'exercer sur le Real un pressing incessant et de multiplier ainsi les assauts sur le but d'Andriy Lunin, le gardien ukrainien de Madrid, remplaçant de Thibault Courtois blessé de longue durée.
Longtemps, le plan établi par Guardiola s'est fracassé sur la défense déployée par Ancelotti, De Bruyne, Grealish, Foden et Haaland à plus forte raison, ne parvenant jamais à prendre le dessus sur Rüdiger, Nacho et consort.
Alors "Pep" s'est creusé les méninges et a fait rentrer Jérémy Doku. Quelques minutes plus tard, l'ailier belge a enfin pris de vitesse Dani Carvajal et offert à De Bruyne l'égalisation (1-1, 76e).
Mais la solidité défensive, impressionnante, du Real, symbolisée par Antonio Rüdiger, qui a offert la victoire aux siens en convertissant le dernier tir au but, a fini par prendre le pas sur les multiples tentatives offensives des Citizens.
La victoire sur le fil des Espagnols sur les Anglais permet à Ancelotti de prendre sa revanche sur Guardiola qui l'avait sèchement battu l'an passé en demi-finale à l'Etihad Stadium (4-0).
L'Italien, en outre, a réussi l'exploit de rompre l'impressionnante série d'invincibilité de City à domicile où les Anglais n'avaient plus perdu depuis 41 rencontres.
Plus personnellement, il accroît son avance sur son jeune homologue dans le nombre de victoires qu'ils cumulent en Ligue des champions.
Après la qualification du Real ce soir, Ancelotti compte désormais 115 victoires en Ligue des Ccampions pour 201 rencontres disputées. Guardiola reste pour l'heure bloqué à 109 matches gagnés pour 169 disputés.
Ancelotti peut encore espérer remporter une cinquième Ligue des champions en tant qu'entraîneur. Placide, comme toujours.
Le point sur les demi-finales
Matchs aller:
30 avril
(20h00) Bayern Munich-Real Madrid
1er mai
(20h00) Borussia Dortmund-Paris SG
Matchs retour:
7 mai
20h00) Paris SG-Borussia Dortmund
8 mai
(20h00) Real Madrid-Bayern Munich.
30 avril
(20h00) Bayern Munich-Real Madrid
1er mai
(20h00) Borussia Dortmund-Paris SG
Matchs retour:
7 mai
20h00) Paris SG-Borussia Dortmund
8 mai
(20h00) Real Madrid-Bayern Munich.