Cette évolution tient compte de l’accroissement de 4,1% de la consommation finale nationale en valeur au lieu de 6,2% enregistré une année auparavant, explique le HCP.
L’institution fait également savoir qu’avec le ralentissement du PIB, aux prix courants, à 3,6% au lieu de 9,8% au deuxième trimestre de l’année passée et l’augmentation de 4,7% des revenus nets reçus du reste du monde, la croissance du revenu national brut disponible a connu un net ralentissement passant de 9,3% la même période de l’année passée à 3,7% au deuxième trimestre 2024.
L’investissement brut a représenté 33,2% du PIB au lieu de 31,7% durant le même trimestre de l’année précédente, ce qui dégage un besoin de financement de 1,1% du PIB.