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Dans ce sens, il est question d’instaurer un nouveau cahier des charges qui est au centre d’une polémique entre les professionnels eux-mêmes, d’une part, et entre certains parmi eux et le ministère.
Après la Fédération nationale des professionnels de la visite technique (FNPVT) qui est farouchement opposée à ce projet, la Fédération nationale des centres de visite technique d’automobiles et de la sécurité routière au Maroc (FNCVTASR) est montée au créneau pour exposer son point de vue sur ledit projet à travers l’organisation d’une journée d’étude sous le thème « Le nouveau cahier des charges et les retombées sur les professionnels de la visite technique ». Il en ressort une satisfaction de ladite fédération qui estime que l’administration a répondu à tous les amendements et attentes des professionnels. Ce son de cloche qui diffère de celui de la FNPVT (voir Libé du 19 janvier 2012), est plus optimiste et recommande la réduction de la périodicité de la visite technique pour les véhicules légers à six mois à partir de dix ans. Pour les poids lourds, on préconise la réduction à six mois à partir de cinq ans. D’autre part, les professionnels réclament aussi l’application de la visite technique aux véhicules de l’Etat et autocars du transport public.
Lors de cette journée d’étude, les participants demandent qu’on impose la visite technique à toutes les catégories de taxis et à travers tout le pays. Ils exigent également la révision à la hausse de la redevance de la visite technique concernant les motos.
Concernant le contrôle du numéro de châssis par ce qu’on appelle «la valise», un appareil qui a la particularité, selon le communiqué de (FNCVTASR), de protéger et les agents de contrôle et les propriétaires des voitures, ladite fédération se dit prête à collaborer avec l’administration pour une meilleure mise à niveau du secteur. Ce qui est sûr, c’est que Celui-ci connaît une dynamique et une lutte d’intérêts des uns et des autres. Cependant, le plus important, et loin de toute polémique, c’est l’intérêt général ainsi que celui de la profession qui doivent l’emporter sur toute autre considération.