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Selon l’agence espagnole Europa Press, il a espéré que la ratification de l’accord sera approuvée au cours du premier trimestre de l’année prochaine pour que la flotte espagnole puisse retourner dans les zones de pêche marocaines.
Il a également mis en exergue l’avis positif des eurodéputés espagnols, devant lesquels il a affirmé que le secteur attend l'application de l'accord conclu avec le Maroc, soulignant que la légalité de l'accord a été vérifiée par les services juridiques de la Commission européenne (CE) et du Conseil des ministres de l'UE. Il a, par ailleurs, indiqué qu'il serait « souhaitable que la plénière approuve l'accord en février, de sorte que les pêcheurs pourront pêcher dans les eaux marocaines dès que possible.
D’après la même source, l'accord conclu en juillet offre 138 licences de pêche à la flotte de l'Union européenne (UE), dont environ la moitié sera destinée à l'Espagne. L’accord maintient les mêmes possibilités de pêche que le protocole précédent. Il concerne les navires d'Andalousie, des Iles Canaries et de Galice.
Cependant, pour son entrée en vigueur, l'accord doit être ratifié par les deux parties. Dans le cas de la partie européenne, le Conseil des ministres de l'Union européenne (UE), où les gouvernements sont représentés, doit examiner ledit accord et l’adresser ensuite au Parlement européen pour avis.
Cette rencontre entre Luis Planas et les eurodéputés espagnols intervient après l’adoption de la Commission de l'agriculture et du développement rural du Parlement européen, lundi soir à Strasbourg, d’un avis favorable au renouvellement de l’accord agricole entre le Maroc et l’Union européenne. Cet avis positif a été voté à la majorité des membres de la commission et reflète la position des groupes politiques qui y sont représentés en faveur de l’adoption par le Parlement européen de cet accord qui vise à étendre les préférences commerciales aux produits agricoles et de la pêche issus des provinces du Sud.
A la fin du mois de septembre, la Commission de l’agriculture et du développement rural avait, rappelle-t-on, recommandé l’approbation de cet accord, tout en soutenant que le nouvel accord agricole conforte la base légale des échanges préférentiels et fournit un cadre stable et incontestable aux échanges commerciaux avec un important partenaire de l’UE, en l’occurence le Maroc, tout en attirant l’attention de l’UE sur la nécessité de préserver la sécurité juridique de ses accords commerciaux avec ses partenaires.
Dos au mur et conscient que le processus d’approbation de l’accord conclu entre le Maroc et l’UE va bon train, le Polisario multiplie les manœuvres visant à torpiller ce processus. En effet, le président du soi-disant « parlement sahraoui » se serait déplacé ces derniers jours à Strasbourg en vue de «convaincre» les groupes politiques du Parlement européen de ne pas appuyer le renouvellement des accords incluant le Sahara marocain, tout en critiquant l’Espagne et la France qui soutiennent ouvertement les positions de Rabat.
Selon Europa Press, le Polisario « saisira la Cour de justice de l’UE en cas de renouvellement des accords avec Rabat » et « fait pression sur le Parlement européen pour abroger ce renouvellement ». Cette tentative est vouée de toute évidence à l’échec, selon les observateurs.