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Les signataires de la lettre déclarent détenir des preuves irréfutables de l’innocence des jeunes victimes d’une manœuvre pour les inculper et innocenter les vrais trafiquants. Les familles réfutent l’accusation de leurs enfants d’avoir traversé la zone interdite et exigent des preuves et non un scénario monté de toutes pièces destiné à innocenter les vrais coupables qui ne sont autres que les décideurs au sein des structures civiles et militaires du Polisario. La lettre stipule que même si les gens étaient arrêtés dans la zone interdite, ils ne transportaient aucun produit narcotique. Le représentant des familles des jeunes détenus déclare que si leurs enfants ne sont pas libérés, des manifestations vont secouer tous les camps.
C’est ce moment que le pseudo-ministre de l’Intérieur a choisi pour interdire le déplacement de tout véhicule militaire ou administratif sans son autorisation personnelle ou celle de son représentant dans ce qu’il appelle wilaya.
Cette décision qui, selon le patron du prétendu ministère de l’Intérieur, vient en réaction à l’implication avérée de hauts gradés dans des opérations de détournements d’aides internationales destinées à la population et dans le trafic de drogue, a provoqué la fronde de certains officiers chargés de la sécurité dans les camps. Pour la simple raison que ces officiers en véhicules ne reconnaissaient pas l’autorité du pseudo-ministre et étaient sous la tutelle de personnes qui assument d’importantes fonctions dans les rangs des milices du Polisario pour le compte desquelles ils utilisaient ces véhicules pour transporter des produits illicites.