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"La France considère que le Maroc a fait un pas significatif en présentant un plan d'autonomie qui constitue, non pas seulement pour la France, mais aussi pour le Conseil de Sécurité une base sérieuse et crédible de négociation", a déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero.
"Ce conflit n'a que trop duré. Il pénalise le Maghreb dans son ensemble en empêchant tout progrès de son intégration régionale", a-t-il dit lors d'un point de presse, soulignant l'impératif que les négociations sous les auspices des Nations Unies "trouvent un second souffle".
La France, a-t-il rappelé, estime qu'"il est plus que jamais nécessaire" d'accélérer les efforts pour "trouver une solution politique, juste et durable à la question du Sahara".
Paris avait appelé mardi les parties au conflit à s'engager "résolument" dans les pourparlers informels sur le Sahara qui se tenaient à Manhasset, près de New York, "afin qu'une solution politique soit enfin trouvée" à cette question.
Le Maroc a souligné au cours de ces pourparlers, qui ont pris fin mardi, la nécessité de donner une "nouvelle dynamique et un élan qualitatif" aux négociations sur le Sahara, à travers une nouvelle méthodologie pour sortir du blocage actuel, a indiqué le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taib Fassi Fihri, à l'issue de cette réunion informelle.
De son côté, l'Envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU a évoqué une "nouvelle dynamique pour la suite du processus de négociations", selon "des approches novatrices".