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Ainsi, l'abus persiste. Les Soulalyates n'ont réalisé, en fait, aucune avancée concrète dans leur cause. Les hommes n'admettront jamais la nouvelle situation s'il n'y a pas de loi qui les oblige définitivement à coopérer avec le ministère de tutelle et à respecter leurs femmes en tant qu'héritières légales de leurs ancêtres, tel que cela est prévu par les dispositions pertinentes du Code de la famille dont le Maroc s'enorgueillit tant. L'enjeu est de taille : le patrimoine est d'une grande valeur foncière et financière. D'une superficie globale évaluée à un peu plus de 10 millions d'hectares, ces terres appartiennent à la collectivité et sont placées, conformément aux dispositions de la loi de 1919, sous la tutelle du ministère de l'Intérieur à travers sa direction des affaires rurales. Un conseil des hommes les gère sans le moindre respect pour les droits des femmes.