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Un ivoirien bloqué à l’aéroport Mohammed VLarbi Bouhamida
Mardi 18 Mars 2014
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Plutôt qu’un déni de justice, dans l’affaire Kokoba De Jacques, il s’agirait tout simplement d’un refus par l’administration d’appliquer une décision de justice. Tout le prouve. En effet, cet Ivoirien qui a fui les affres de la guerre qui ravageait son pays, s’est réfugié au Maroc où il s’est régulièrement fait inscrire auprès du Haut commissariat aux réfugiés (HCR) en février 2012 et a décidé de quitter temporairement le territoire national le 4 février 2014 après avoir pris soin de le faire dans les règles de l’art. C’est-à-dire en prenant contact avec les services sécuritaires compétents à Casablanca et en signant une demande dans ce sens. A son retour, il s’est vu signifier une interdiction d’entrée au motif qu’il ne disposerait pas de ressources financières suffisantes ni d’une adresse fixe au Maroc. Ce qui ne semble pas avéré, vu qu’il vivait en bonne intelligence avec une retraitée dénommée Sylvie Weber qui réside à Casablanca. De fait, la suite des événements qu’il aura à vivre tiendra d’un feuilleton, voire d’un film de série noire. Le film « Terminal » en version navet en quelque sorte. En attendant que ce film prenne fin, la justice a tranché de manière on ne peut plus claire. Le tribunal administratif de Casablanca vient, en effet, de casser la décision prise par le directeur général de la sûreté nationale. Dans son jugement, la Cour a rappelé que, dans le cas d’espèce, la règle générale consisterait pour le juge à appliquer le contenu des conventions internationales ratifiées par le Maroc qui l’emportent sur la loi nationale conformément aux dispositions de la Constitution. De même qu’elle ne peut interdire à tout ressortissant étranger disposant de revenus et remplissant les critères de réfugié tels qu’arrêtés par le HCR l’entrée au territoire national. Mais cette administration refuse d’appliquer cette décision de la justice et partant, fait perdurer le déni de justice qu’elle a commis. Lu 3777 fois
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