Devrait–on apostropher ce mystérieux « dirigeant istiqlalien » qui avait usé d’un langage de caniveau à l’égard de l’USFP ? Mille fois non ! Ce serait, en fait, absurde de s’adresser à un fantôme. Tant il est vrai que le supposé dirigeant n’a d’existence qu’à travers « Al Jarida al oula ». On ne peut, en effet, prétendre à une certaine responsabilité à quelque niveau que ce soit, quand on fait preuve de la plus lâche des irresponsabilités en optant pour l’anonymat. Et c’est aussi faire preuve de légèreté et d’inconstance que de chercher à accorder quelque crédit à un …… anonyme. Il est bien triste qu’« Al Jarida al oula » ait commis ce grand écart au moment où le débat sur l’éthique, la déontologie et la liberté de la presse est plus que jamais d’actualité. Il serait trop facile de pondre tous les jours des dizaines de papiers en citant quelque source inconnue. Inexistante donc, puisque c’est du pareil au même.
Quant à l’USFP, il a toujours démontré qu’il n’a de leçon à recevoir de personne. Ses positions, il les a toujours assumées avec conviction et responsabilité.
Le gouvernement n’a jamais été une fin en soi pour l’USFP. S’il y est, c’est pour servir le pays. C’est pour être au service du peuple comme il l’a toujours fait quand il était dans l’opposition. Le passage d’un côté ou de l’autre ne peut être dicté que par un seul et unique souci: l’intérêt suprême du Maroc et des Marocains.