
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Outre les Emirats et le Qatar, la Mauritanie, l'Algérie, la Syrie, le Maroc, la Libye, le Soudan, le Liban, l'Irak, le Yémen, Djibouti, la Somalie, les Comores, le sultanat d'Oman et l'Autorité palestinienne ont annoncé leur participation à ce Sommet dont la tenue coïncide avec la rencontre, le même jour au Koweït, des ministres des Affaires étrangères des pays arabes, convoquée à la demande du même Qatar.
La tenue du Sommet arabe extraordinaire survient alors que les dirigeants arabes devraient se réunir les 19 et 20 janvier à Koweït à l'occasion d'un Sommet économique et que l'Arabie Saoudite et l'Egypte qui, avec la Tunisie, ont préféré ne pas faire le déplacement à Doha, se sont déclarés favorables à l'idée de profiter de leur présence à Koweït City pour discuter de la guerre de Gaza.
Que faut-il déduire de pareils chassés-croisés diplomatiques qui se mordent la queue ?
Le fait que les pays arabes ne soient pas parvenus à se mettre d'accord sur une démarche commune après l'holocauste qui se déroule à Gaza, réduit ses chances de réussite et écorne son caractère extraordinaire à la rencontre.